| Sujet: CALLIE ♡ « Mieux vaut être indifférent et digne que malheureux et pathétique. » Lun 3 Aoû - 23:19 | |
| Callie June Baldwin Emma RobertsNée le 1 juillet 1993 à Chicago, j'ai 22 ans et suis de nationalité américaine. Si vous voulez en savoir un peu plus sur moi, sachez que je suis plutôt pauvre et que je le vis plutôt mal ! Actuellement célibataire, je tiens à préciser que je suis plutôt du genre hétérosexuelle... Désolée)d'avance pour les cœurs brisés. Diplôme préparé : doctorat.Cycle & année d'étude : 1ère année de graduate.Cursus majeur : droitSpécialisation : droit pénal.Cursus mineur : sport. | |
Personnalité & addictions Drôle - 58% Réfléchie - 63% Créative - 14% Travailleuse - 89% Fêtarde - 93% Narcissique - 20% | Artiste - 12% Amicale - 47% Jalouse - 78% Méfiante - 96% Sportive - 95% Prude - 21% | Généreuse - 64% Têtue - 86% Hautaine - 63% Séductrice - 83% Honnête - 62% Joueuse - 90% |
Alcool : 63% | Drogues : 0% | Sexe : 85% |
Renseignements multiples Pourquoi avez-vous choisi d'étudier à l'université de Chicago ? A vrai dire, je n'ai pas vraiment eu le choix. Dans un rêve utopique, j'aurais aimé pouvoir aller dans une université prestigieuse comme Yale, Princeton ou même UCLA. Mais le destin en a voulu autrement. Je viens d'une famille plus que modeste et il ne fallait pas que je compte sur mes parents pour m'aider financièrement. Du coup, j'ai du faire avec les moyens du bord et j'ai décidé de tenter ma chance à l'université de ma ville d'origine. Quelles sont vos sources de financement universitaire ? A la fin de ma dernière année au lycée, j'ai eu la chance de recevoir une réponse positive m'octroyant une bourse d'étude. C'est donc en grande partie grâce à celle-ci que je finance mes études. Néanmoins, afin d'arrondir les fins de mois et pouvoir m'offrir des manuels neufs, je travaille comme serveuse dans un petit bar sympa qui se situe dans le campus. Que pensez-vous du système de confrérie ? Je ne vais pas mentir. A la base, pour moi, les confréries s'étaient surtout une bonne solution pour se faire une place dans l'université, pour s'intégrer. Populaire au lycée, je voulais conserver cette place de choix à l''université mais j'étais loin de m'imaginer que les moindres détails de ma vie seraient examinés afin d'apprécier ma candidature. Les confréries sont, pour la plupart, composées d'une belle brochette d'idiots. Et puis, il y a cette confrérie. La bonne. Celle qui vous donne enfin l'impression d'avoir une famille.. D'ailleurs, faites-vous partie d'une confrérie ? Si oui, depuis combien de temps ? Contre toute attentes, j'appartiens bel et bien à une confrérie, celle des kappa alpha psi et ce depuis maintenant quatre ans. Je dois bien avouer que les Kappa n'étaient pas vraiment mon premier choix. Il faut dire que lorsque l'on veut conserver sa popularité, ce n'est pas chez les kappa qu'il faut aller. J'ai donc d'abord été chez les Alpha mais j'ai vite été recalée : pas assez parfaite, pas assez lisse. Ensuite, je me suis rabattue sur les Zeta mais j'ai également été recalée, sans qu'ils ne me donnent de raison. J'ai voulu tenté d'aller chez les Phi Delta mais ils m'ont rapidement fait comprendre qu'une petite serveuse qui a besoin d'une bourse pour payer ses études n'avait rien à faire avec eux. Pour finir, j'ai tenté ma chance chez les Delta mais même eux ne voulaient pas de moi : pas assez sociable, trop sombre. J'ai donc baisser les bras. Après tout, j'étais là pour terminer ma scolarité par pour devenir la petite coqueluche de l'université. Attirée par la musique qui résonnait dans la rue, je me suis rendue dans le jardin des kappa où j'ai découvert une fête comme je n'en avais jamais vue. En me voyant errer là comme une âme en peine, un de leurs gars est venu me tendre un shot et à crier "Cul sec !". Je me suis bien évidemment exécutée et la seconde d'après, je me retrouvais sur son dos à faire le tour du jardin. J'ai passé le reste de la soirée et de la nuit avec eux à faire la fête. Ils ne m'ont pas demandé une seule fois le nom de mon père, le cursus que je suivais ou la façon dont je finançais mes études. C'est là que j'ai compris ce que je recherchais vraiment, ce dont j'avais vraiment besoin : un groupe d'amis qui ne me jugeraient pas, qui deviendrait ma famille. Sans même que je ne le demande, j'ai intégré la confrérie et la plus belle année de ma vie à débuter : l'année de bizutage. Alors que beaucoup voit ça comme une pénitence, je voyais ça comme une façon d'aller au delà de mes limites, de me surpasser. Ce n'était pas rose tous les jours mais durant cette année, j'ai enfin compris ce que signifiait le mot famille. Biographie « Papa ! Elle est où maman ? » Sautillant jusqu'à mon père et mon frère dans mon justaucorps rose bonbon, je cherchais ma mère des yeux. Aujourd'hui, c'était mon jour, mon heure de gloire. J'avais travaillé tellement dûr pour en arriver là que je ne pouvais pas concevoir qu'elle ne soit pas présente. « Elle avait beaucoup de travail, ma puce, elle ne vas pas tarder à arriver. Mais ne t'inquiète pas, j'ai pensé à prendre la caméra. » C'est alors que je vis mon père lever fièrement son caméscope en l'air avec ce sourire enfantin qui faisait sa particularité. J'avais toujours été très proche de lui, il était à la fois mon modèle, mon ange gardien et mon meilleur ami. Malgré tout, j'aurais eu besoin de ma mère en ce soir où les projecteurs allaient être rivés sur moi. C'était la première fois que je me produisais dans une salle qui accueillait autant de monde et la peur me nouait le ventre au fur et à mesure que le temps passait. Je me regardais dans la glace, voyant mes yeux de petite fille se voiler pour laisser place à un regard de braise au fur et à mesure que la maquilleuse s'occupait de moi. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, je me retrouvais sur cet immense gymnaste à faire des roues, des sauts, des roulade et tous ces acrobaties que je m'étais acharnée à apprendre durant quatre ans. Je n'étais encore qu'une enfant et pourtant, je connaissais mieux la gymnastique que la plupart des adultes, je le pratiquais depuis que je savais marcher. C'était plus qu'une passion, c'était un rêve, c'était mon avenir, c'était ma vie et je prenais très mal le fait que ma mère ne soit pas présente sauf que j'étais loin de savoir que ce qu'il se passait pour elle. En effet, ma mère venait de se faire renverser, elle était dans un coma profond et venait de perdre ma petite soeur, qu'elle avait si ardemment désiré. J'étais horrifiée à l'époque et je ne comprenais pas trop ce qu'il se passait. Après quelques mois, elle finira par se réveiller mais ne sera plus jamais pareille.. En effet, notre vie à Nicola et moi fut totalement chamboulée. Mon père sombra dans l'alcool alors que ma mère se dopait aux médicaments et aux drogues pour ne pas s'effondrer. C'est à partir de ce moment-là qu'on a du apprendre à se prendre en main, à rester souder, à se serrer les coudes. C'est à ce moment-là qu'il est devenu ma seule famille, que je suis devenu la sienne.
« M 'maaan ! Je peux aller chez Jenna ? » « Si tu veux. » Je soupirais face à la nonchalance de ma mère mais sans attendre plus longtemps, je sortis de la maison et dévalais mon jardin jusqu'à arriver devant la maison de mes voisins. Je sonnai et la mère Callahan ne fut pas surprise de me voir, elle me fit entrer en me demandant comment allait ma mère et en me proposant des cookies. C'était la meilleure amie de ma mère avant qu'elle ne dépérisse et sa fille était devenue la mienne. Rapidement, la petite brune vint d'ailleurs me chercher pour m'emmener dans sa chambre où on commençait à jouer aux poupées. « Tu sais, Lillie, quand on sera grandes, on ne se perdra jamais ! On sera toujours meilleures amies, comme nos mamans. Et puis, toi, tu te marieras avec Ethan comme ça se sera plus facile puis je serais la tatie de votre bébé. » « Beuurk ! J'veux pas me marier avec Ethan, c'est mon copain. » « Ben justement, vous serez amis et amoureux, c'est chouette, je trouve. » Alors que l'on était en pleine discussion de petites filles, le fameux Ethan débarqua en bousculant tout sur son passage. Il portait une cape de Superman et ses pantoufles Snoopy. « Super Ethan à la rescousse ! » En faisant irruption dans la chambre, il avait renversé la maison de poupées de Jennalyn qui le regardait avec des yeux remplis de colère alors que moi, je rigolais. « SuperNuloss' ouais ! Regarde ce que t'as fait à ma maison. » Riant, ma meilleure amie poussa alors son frère sur son lit avant que celui-ci ne se mette à la chatouiller. Soudain, ils se stoppèrent net et me regardèrent avec des yeux pleins de malice qui ne présageaient rien de bon. Sans que je m'y attente, ils me sautèrent dessus et commencèrent à me chatouiller. Je gesticulais dans tous les sens en riant, essayant de leur dire d'arrêter : « Stop ! Sinon, j'suis plus votre copine pour la vie ! » On était jeunes et insouciants à cette époque, rien ne pouvait nous atteindre.. Ils étaient mes meilleurs amis, mes repères, ma boussole.. On est devenus particulièrement populaires au lycée et l'hypocrisie autour de nous coulait à flot mais on a toujours su rester unis. Lorsque j'ai commencé à sortir avec Ethan, Jenna était aux anges.. Jusqu'à ce qu'elle apprenne que c'était surtout pour faire bonne figure. En tant que capitaine des cheerleaders, je me devais de sortir avec le capitaine de l'équipe de foot, c'était inévitable et cela même si on se considérait comme frère et soeur.
Cela faisait maintenant un an et demi que je sortais officiellement avec Ethan, on était le couple phare du lycée : les filles me jalousaient, les garçons me désiraient. J’étais devenue la parfaite petite pimbêche qu’on voit dans les films pour pré-adolescents et j’en étais consciente. D’ailleurs, après m’être préparée avec Jenna, je me rendais à mon bal de fin d’études avec la certitude d’être élu reine de promo. Je me plaisais plutôt bien dans ma vie, je n’avais pas à me plaindre mais parfois, j’aurais voulu plus de piment, plus de rebondissements au lieu de me contenter d’être la figurante de ma vie. Une fois arrivés sur place, notre petit trio se sépara rapidement : Jenna allait vers son cavalier, Ethan allait retrouver ses potes et moi.. Ben moi, je me retrouvais toute seule. Enfin, j’essayais.. Car quand vous êtes la fille la plus populaire du lycée, ce n’est pas toujours évident d’avoir un moment de tranquillité. Après avoir bu quelques verres de cocktail, je me rendis donc dans le couloir et m’installa sur les marches, cette fois, personne ne viendrait m’ennuyer. Lorsque je vis un jeune homme approcher, je n’eus pas le courage de me lever pour lui échapper mais lorsque je le vis s’asseoir à côté de moi, je regrettais déjà de ne pas être partie en courant. 2 secondes de paix, c’est pas possible dans cette école. « Tu vas bien, Callie, t’as pas l’air au mieux de ta forme ? » Il connaissait mon nom ? C’était plutôt étrange étant donné que son visage ne me disait absolument rien du tout. Par pure politesse, je lui répondis tout de même : « Je vais bien, merci ». C’était faux. En plus d’avoir forcé un peu sur l’alcool, j’avais l’impression de ne pas être à ma place. J’allais être élu reine, Ethan roi et pourtant on était loin d’être un de ces couples que l’on voit dans les films. « T’es certaine ? T’es un peu pale. Si tu veux, je peux aller te chercher de.. » « Non, ça va ». Je lui avais répondu un peu sèchement, je le reconnais mais je n’avais pas spécialement envie de parler de mes problèmes ou de passer pour une martyre. « Okai, okai.. » Je fermai doucement les paupières et fit craquer mon cou, j’avais juste envie de dormir et d’en finir avec cette soirée.. « Tu sais déjà où tu vas aller l'année prochaine ? » « Oh, je reste ici, à Chicago.. Je vais surement me lancer dans le droit et toi ? » Il me regarda avec un petit sourire, je devinais qu’il se moquait de moi. Callie Baldwin en droit ? Mais oui bien sûr. J’étais loin de me douter de la réelle raison de son sourire. « Je compte au.. » « Call' ! Je t’ai cherché partout ! Viens, ils vont élire le roi et la reine ! » Ethan. Il arrive quand la conversation avec l’inconnu devenait presque intéressante. Je me levais et le suivi entendant un doux et léger « Salut.. » dans mon dos.. Bien évidemment, ce soir-là, j’ai été élue reine. La seconde qui a suivi, j'ai reçu un sms "Reine, peut-être mais reine des cocus." Une photo d'Ethan totalement nu accompagnait le message, on pouvait apercevoir des jambes féminines entourées sa taille. Sans plus attendre, je sortis de la salle en trombe, courant comme je pouvais avec ma longue robe, Ethan à mes trousses. Sans même que je m'en rende compte, j'avais atterri sur le toit de l'école, des larmes dégringolant le long de mes joues. « Call', tu vas m'expliquer ce que c'est ton problème ? » « Mon problème ? » Je me retournai vers Ethan en lui lançant un regard noir. Mon problème, c'est que j'étais blessée, humiliée, salie. Comment avait-il pu faire ça ? Lui ? Ethan ? Mon amie d'enfance, celui a qui je confiais tout. « Mon problème, Ethan, c'est que t'es qu'un crétin qui est pas capable de garder son engin dans son caleçon, voilà mon problème. » Je le croyais différent. Je le croyais respectueux. « C'est bon, c'est arrivé une fois ! Tu vas pas en faire toute une histoire. » Pitié. C'est le seul mot qu'il m'inspirait en ce moment. Il avait bu plus que de raison et vu son apparence, je ne serais pas étonnée qu'il ait consommé de la drogue. La jeunesse doré dans toute sa splendeur. Il s'approcha de moi et, au même moment, je reculai d'un pas. « M'approche pas » « Fais pas ton cinéma, j'ai loué une chambre, tu verras, on sera bien. » Il agrippa mon bras que je retirai violemment. « Dégage ! » « Putain, Call', viens ici, tu fais chier, là ! » « Je t'ai dis de dégager ! » Je le poussai brutalement mais l'instant d'après il me tenait fermement par la taille. « Ethan, arrête, tu me fais mal. » Il colla bestialement mon corps au sien avant de poser sa main sur ma cuisse, relevant le pan de ma robe. « Arrête. » J'essayais de me retirer de son étreinte, en vain. Alors que je me faisais une raison et que je décidai de me laisser faire par mon bourreau, un jeune homme fit irruption de nul part et lança un coup de poing à Ethan qui se retrouvait à terre. Ne comprenant pas ce qu'il m'arrivait, je levai les yeux vers le jeune homme qui venait de me "sauver" : le bel inconnu de tout à l'heure. Sans même y réfléchir, j'enfuis mon corps dans ses bras, glissant mon visage dans le creux de son cou, laissant dégringoler des larmes de soulagement. « Merci.. », finis-je par souffler dans un soupir. Depuis cette soirée, Julian et moi, on ne s'est plus lâché. Il est devenu mon confident, mon ami, ma bouée de sauvetage..
Pour une fois, ce n’était pas moi qui attendais Julian mais l’inverse, j’avais du m'occuper de trouver des défis pour les bizuts et j’avais bien besoin d’un bon remontant. Enchantée et enjouée, je rejoins donc Julian dans notre bar habituel. Une fois à l’intérieur, je m’aperçus que mon cher ami était déjà en très bonne compagnie. En effet, deux grandes blondes lui collaient aux basques et monsieur faisait bien évidemment le paon. Amusée par la situation, je m’assis non loin de lui observant son petit manège. Lorsqu’il remarqua ma présence, il abandonna les filles en un clin d’œil avant de venir s’installer à mes côtés, m’embrassant la joue au passage. « T’es au courant que tu viens de laisser passer un triple suprême, là ? » C’était sa façon d’appeler les plans à trois et, moi, j’avais fini par m’habituer à son langage et même à l’adopter. « Pas grave, les potes avant les putes » Je ris légèrement alors qu’il nous commandait une ruée vers l’or, un ensemble de dix shots. « On fête quelque chose que tu veux nous bourrez la gueule ? » « Non, rien de spécial mise à part que tu es ravissante aujourd’hui » Quel beau parleur ! Heureusement que, moi, je ne tombais pas dans son piège.. Eumh ! Après notre deuxième ruée vers l’or, je commençais sérieusement à voir double, on décida donc de faire une pause. « Tu sais, je comprendrais jamais comment ces filles arrivent à tomber dans le panneau à chaque fois. » « C’est à cause de mon charme irrésistible, ça ! » Et un clin d’œil ! « Laisse-moi rire. » « Je peux avoir n’importe quelle fille dans ce bar, Callie, tu le sais très bien. » « D’accord, montre le moi alors. La fille là-bas, tu vois ? Son copain a ses mains sur ses fesses, cap ? » Il tapa dans ma main, signe qu’il acceptait le pari et se dirigea vers le jeune couple. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, le copain avait disparu et la jeune fille le regardait avec des grands yeux émerveillés. Il me fit un clin d'oeil avant de quitter le bar avec la jeune fille à son bras. Je soupirais avant de me recommander un verre. Des sentiments contradictoires me submergeaient : Jalousie ? Fierté ? Orgueil ? Quoi qu'il en soit, il allait falloir que je règle ça au plus vite. | Moi c'est almostalways !J'ai 23 ans, je suis une fille et je vis en belgique. J'ai découvert le forum sur bazzard et je le trouve AWESOME ! Sinon, je serai connectée presque tous les jours et je devrai pourvoir RP environ 2/3 fois par semaine. |
Dernière édition par Callie Baldwin le Mar 4 Aoû - 22:39, édité 20 fois |
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