Luke W.Desmond
Tim BorrmannNé(e) le 1er août 1997 à Los Angeles (USA), j'ai 18 ans et suis de nationalité américaine. Si vous voulez en savoir un peu plus sur moi, sachez que je suis plutôt pauvre. et que je le vis assez mal ! Actuellement célibataire, je tiens à préciser que je suis plutôt du genre Bisexuel... Désolé d'avance pour les cœurs brisés. Diplôme préparé : bachelorCycle & année d'étude : Histoire & undergruateCursus majeur : HistoireSpécialisation : Les rois dans le monde.Cursus mineur : Tourisme | |
Personnalité & addictions
Drôle - 60% Réfléchi(e) - 40% Créatif(ve) - 30% Travailleur(euse) - 40% Fêtard(e) - 50% Narcissique - 30% | Artiste - 50% Amical(e) -70% Jaloux(se) - 40% Méfiant(e) - 60% Sportif(ve) - 80% Prude - 50% | Généreux(se) - 20% Têtu(e) - 65 % Hautain(e) - 30% Séducteur(trice) - 55% Honnête - 70% Joueur(euse) - 80% |
Alcool : 60% | Drogues : 10% | Sexe : 90% |
Renseignements multiples
Pourquoi avez-vous choisi d'étudier à l'université de Chicago ? Pour le voyage, pour faire ma vie de jeune adulte. Redémarrer du bon pied sans connaître personne m'a semblé être une sage décision. Et puis Chicago est une ville qui m'a toujours attiré. De plus depuis deux ans, ma grande soeur y habite et travaille également à Chicago. Du coup cela rassure également ma mère qui est restée à Los Angeles.
Quelles sont vos sources de financement universitaire ? J'ai deux sources de revenus : La bourse que j'ai obtenu ainsi qu'un travail de serveur le soir et le samedi dans un bar dans le centre de Chicago
Que pensez-vous du système de confrérie ? Je pense que c'est un moyen de se créer un réseau d'amis, de connaissances assez rapidement. De ne pas se retrouver seul dans une ville immense telle que Chicago. De plus, la confrérie me permet de ne pas être seul et de faire la fête. de concilier l'utile à l'agréable. Ca me permet également de me permettre de m'émanciper de ma famille, de prendre mon envol, même si ce n'est pas comme il le souhaite.
D'ailleurs, faites-vous partie d'une confrérie ? Si oui, depuis combien de temps ? SIGMA CHI - ΣΧ - Je vais intégrer à la rentrée cette confrérie entièrement masculine. Moi qui aime le sport, c'est un peu la confrérie idéale pour moi. Bon et aussi peut-etre parce que je ne suis pas tellement à l'aise au milieu de filles qui parle sans cesse de maquillage et de mode. De plus le côté très lié et fraternel m'a toujours manqué. C'est peut-être l'absence d'une figure paternelle qui m'a fait chercher une confrérie telle que SIGMA CHI.
Biographie
Être pauvre n’est pas en soi une calamité. Vraiment. Mais ça peut être lourd à porter. J’en ai fait la triste expérience pendant pratiquement un bonne partie de mon enfance. Pourtant, cela n’a pas toujours été le cas. J’étais ce qu’on appelle un enfant bien-né. Mon père était trader, et plutôt réputé. Il gagnait très bien sa vie. Ma famille n’avait vraiment pas à se plaindre, nous ne manquions de rien. Ma sœur et moi avions tout ce que nous voulions et ma mère n’avait qu’à s’occuper de nous. Le bonheur parfait en somme. Nous étions une famille soudée, et heureuse. Rien ne pourrait entraver notre bonheur. Enfin, c’est ce que je pensais alors que j’avais encore à peine trois ans, et ma sœur venait de fêter ses cinq ans. Mais comme on dit bien trop souvent, tout bonheur a une date de péremption. J’en allais faire les frais, alors que j’étais à peine âgé de quatre ans. Un évènement qui allait changer la donne d’une vie toute entière. Mais j’étais trop jeune pour en voir les conséquences.
Mon père, qui était comme le sacro-saint à la maison, n’était en fait pas aussi irréprochable que ma mère ne le pensait. Le pouvoir de l’argent l’avait un peu trop influencé, et il en avait été trop attiré jusqu’à s’y brûlait les mains. Il avait abusé de sa position de trader pour détourner de l’argent, assez facilement, car il n’avait qu’à appuyer sur une touche de son ordinateur. Un genre de Jérôme Kerviel en somme. Mais pas aussi discret. Il se fit rapidement prendre la main dans le sac par la police. L’attrait de l’argent l’a tout simplement mené à sa perte et à la porte de la prison. Ce qui n’était qu’un juste retour des choses. Comme a dit le juge, dixit ma mère, on ne joue pas impunément avec l’argent de n’importe qui. Résultat des courses : il avait abusé de sa position de trader pour détourner de l’argent, assez facilement, car il n’avait qu’à appuyer sur une touche de son ordinateur. Toute notre petite famille a accumulé un nombre impressionnant de dette à rembourser, ayant découvert qu’en plus de détourner de l’argent, il en investissait pas mal dans des jeux, contractant ainsi de nombreuses dettes. Ma mère fut obligée de prendre un travail de femme de ménage, même si ce n’est pas de mettre la main à la pâte qui va lui faire peur.
Au collège, j’ai dû retourner au public. Juste à l’âge ingrat. Alors que jusqu’ici, j’étais dans le privé, grâce aux revenus conséquents de mon père. Le public, certainement mon pire cauchemar. Même si cela avait déjà commencé dans le primaire quand toute cette histoire a commencé. La cruauté des enfants est certainement sans limite. J’étais passé du gamin populaire au gamin nanti, détestais par tous parce qu’il n’a pas de beaux vêtements ou le dernier jouet à la mode. Moi, au fond tout cela m’était bien égal. Ce qui me faisait le plus de mal, c’était les mots, les paroles. Les insultes que je recevais à longueur de journée. Alors j’avais appris à me défendre par la parole, c’est au collègue que j’ai commencé à me défendre par la parole, puis par les poings. Heureusement au primaire, j’avais Hunter qui m’aidait à me changer les idées, ou qui me rassurait, mais aujourd’hui, on ne peut plus dire que l’on est resté en contact, ça s’est même plutôt mal terminé entre nous. Vous connaissez les chagrins d’amour ? Et bien, je peux vous certifier que les chagrins en amitié existent tout autant. Des promesses en l’air, c’est tout ce que j’ai retenu. Mais seulement quand on me provoque. Sinon je ne suis pas du genre à faire des histoires, bien au contraire. J’essayais de travailler au mieux pour obtenir une bourse pour mes études supérieures. Je devais rendre fier ma mère et ma soeur qui se préoccupait un peu trop de moi.
Je finis par obtenir une bourse pour mes études ainsi qu’un travail de serveur en parallèle pour financer mes études, même si ma mère m’envoyait un petit pécule, je ne voulais pas qu’elle se ruine. C’est ainsi que je rentre à l’université de Chicago, en histoire et sport. Mes résultats en histoire ne sont pas excellents, et je dois redoubler d’efforts si je ne veux pas perdre ma bourse, sinon je n’aurais pas d’autre choix que de quitter l’université. Entre mon boulot, les soirées, les révisions et tous les à-côtés, je n’ai guère de temps à consacrer au foot, qui est une de mes plus grandes passions pourtant. J’y consacre le peu de temps libre que j’ai, ne laissant pas de place à une grande histoire d’amour, même si je me considère bien trop jeune pour cela. Oh, il m’arrive d’avoir des histoires d’un soir, principalement avec les hommes, et oui désolé mesdames, vous n’êtes pas ma priorité, quoique cela peut se faire à force de persuasion.
| Moi c'est Maev20 !J'ai 26 ans demain , je suis une fille et je vis en France. J'ai découvert le forum sur Bazzart et je le trouve splendide ! Sinon, je serai connecté(e) tous les jours normalement et je devrai pourvoir RP environ 2 à 3 fois par semaine selon mon avancée et l'inspi ! . |