(maddie) she's like a daydream

Pourquoi avez-vous choisi d'étudier à l'université de Chicago ? L’université de Chicago était un choix évident. Après tout, c’est là qu’ont étudiés mes parents, c’est également là qu’ils se sont rencontrés. Ma mère adorait me raconter ses années passées entre les murs de cette université, et depuis toute petite, j’en rêves.  J’adorais surtout quand elle me parlait de la très sélecte sororité dans laquelle elle avait été membre – et présidente par la suite. Et puis, le programme en droit est un des meilleurs dans le pays. Certes, ce n’est pas Harvard, mais l’université de Chicago, c’est ce rêve, cette poursuite à une vie meilleure.

Quelles sont vos sources de financement universitaire ? J’ai la chance d’être née avec une cuillère en or dans la bouche. Mon père est name partner dans sa firme d’avocat, l’un des meilleurs. Ma mère, elle, est femme au foyer mais elle vient d’une vieille famille new yorkaise, une de ces familles qui a construit la ville, si l’on peut dire. Donc, notre fortune remonte à loin. Je n’ai manqué de rien dans mon enfance et l’idée de travailler pour m’offrir des études universitaires ne m’a jamais traversé l’esprit. Bien sûr, ne parlons même pas de bourse, même si je suis certaine que j’aurais pu en avoir une sportive, voire même académique, si j’avais postulé. Mais pas besoin de me disputer avec les pauvres, je m’en sors parfaitement grâce à la fortune familiale, merci.
Que pensez-vous du système de confrérie ? La Greek Life, c’est L’expérience universitaire. Si tu ne fais pas partie d’une confrérie, et bien, tu as raté un peu ta vie. Et c’est un peu le cas. Après tout, faire partir d’une confrérie, ça t’ouvre des portes pour ton futur. Grâce à ta confrérie, tu peux faire connaissance avec les alumnis, qui eux, sont déjà dans le monde du travail. Oui, faut pas croire mais les confréries, ce sont tout un réseau de relations. Et puis, les noms des confréries confèrent aussi un certain prestige pour les membres. Après tout, ils ne prennent pas n’importe qui. Enfin, ça dépend. En tout cas, les Alpha sont très sélectes. Et elles ont raison. Les membres font la réputation de la famille. Parce qu’une confrérie, c’est bien plus qu’un rassemblement de personnes qui ont les mêmes idées ou partagent les mêmes goûts/opinions. C’est vraiment une deuxième famille, des personnes avec qui tu vas vivre pendant toutes ses années universitaires. Liées pour le meilleur et le pire. Presque comme un mariage.

D'ailleurs, faites-vous partie d'une confrérie ? Si oui, depuis combien de temps ? Les Alpha Omicron Pi sont ma deuxième famille depuis maintenant presque 4 ans. Ma mère était une Alpha, ma grand-mère aussi était une Alpha. Depuis plusieurs générations, les femmes Richards y ont bâti des relations entre les murs de la maison. Elles ont appris à vivre en communauté, et s’aider les unes les autres et surtout, elles ont appris à être loyales. Leur vie chez les Alpha ont tout changé, c’est ce qu’elles m’ont répétées depuis ma plus tendre enfance. Elles sont fières de ce qu’elles sont devenues, des femmes battantes, indépendantes, classe, intelligentes. Des femmes parfaites. Et depuis toute petite, je rêve de devenir comme ma mère, un modèle de perfection. Je veux leur prouver que moi aussi, je peux apporter ma pierre à l’édifice. Je veux leur prouver que j’ai tout autant ma place dans cette sororité que les autres femmes de ma famille. Je veux leur prouver que je suis une vraie Richards aussi. Parce que c’est ça.  Et j’ai réussi mon pari. Dès la première année, j’ai été recrutée. Avant même d’avoir postulé, j’ai été choisie. J’ai reçu la lettre dès mon arrivée. Elles me voulaient. J’en ai été tellement honorée. Et fière. L’éducation que m’avait donnée ma mère portait enfin ses fruits.

Les premières semaines furent difficiles. J’ai du affronter des obstacles, les moqueries des autres aussi. Parce que c’est aussi ça, le bizutage. Etre humiliée devant une foule. Mais j’ai tout pris sur moi, avec classe. Certains moments furent plus difficiles que d’autres, mais je n’ai jamais abandonné. Je ne pouvais pas, je ne me le permettais pas. Je voulais montrer à toutes que j’étais la digne fille de ma mère. Elle a été présidente à son époque, et j’espère le devenir également. Mais en attendant, je me voue totalement à ma sororité, à mes sœurs. Parce qu’elles sont ma famille. Et je les aime.

Je t'invite à aller recenser ton avatar et tes prénoms et nom ainsi qu'à contacter PlayBoy pour lui faire part de 3 petits secrets te concernant. Tu peux également aller créer ta fiche de liens afin de te trouver de nouveaux amis ou intégrer un club ou une équipe universitaires ! Bienvenue dans notre famille  

Bizutage de bienvenue ✽ J'ai envie de m'amuser un peu. Je veux que tu arbores un avatar te présentant en tenue déguisée ou ridicule et ce durant toute une semaine. N'oublie pas : plus c'est nul, plus j'aime.