Chloe NorgaardNée le 03 février 1993 à Tokyo (Japon), j'ai 22 ans et suis de nationalité islandaise et japonaise. Si vous voulez en savoir un peu plus sur moi, sachez que je suis plutôt riche et que je le vis pas trop mal ! Actuellement célibataire mais mariée, je tiens à préciser que je suis plutôt du genre hétéro... Désolé(e) d'avance pour les cœurs brisés. Diplôme préparé : bachelorCycle & année d'étude : 4ème année undergraduateCursus majeur : ArtsSpécialisation : Arts urbainCursus mineur : Langues (scandinave) | |
Personnalité & addictions
Drôle - 80% Réfléchie - 40% Créative - 70% Travailleuse - 60% Fêtarde - 70% Narcissique - 40% | Artiste - 80% Amicale - 80% Jalouse - 40% Méfiante - 30% Sportive - 50% Prude - 40% | Généreuse - 60% Têtue - 60% Hautaine - 30% Séductrice - 50% Honnête - 60% Joueuse - 50% |
Alcool : 70% | Drogues : 00% | Sexe : 60% |
Renseignements multiples
Pourquoi avez-vous choisi d'étudier à l'université de Chicago ? Mes parents ont été mutés à Chicago lorsque j'avais douze ans. Du coup je vis dans cette ville depuis dix ans, donc c'était naturel d'aller à l'université à Chicago. Je voulais pas spécialement aller à la fac, mais mes parents ont insisté donc bon, pas la peine d'aller dans une université prestigieuse, celle de la ville ça suffira.
Quelles sont vos sources de financement universitaire ? Mes parents me paye mes études, mais même si je n'ai aucun soucis d'argent je tiens à participer un peu. Du coup je bosse en temps que tatoueuse dans un salon de la ville.
Que pensez-vous du système de confrérie ? Tout dépend des confréries on va dire. Certaines sont mieux que d'autres, mais j'avoue que faire partie d'une confrérie c'est faire partie d'un groupe, c'est comme une seconde famille. On se sent moins seul et on partage des choses avec des gens qui pensent à peu près la même chose que nous.
D'ailleurs, faites-vous partie d'une confrérie ? Si oui, depuis combien de temps ? Bien sûr, de la meilleure même : les
KAPPA ALPHA PI. Pourquoi eux me direz vous alors qu'il on une réputation douteuse sur le campus. Et bien déjà parce que je ne suis pas un homme, donc je ne pouvais intégrer les Sigma. Ensuite il était hors de question que je me retrouve avec ses pimbêches d'Alpha ou ses intellos de Zeta. J'aurais pu aller chez les Phi avec l'argent de mes parents, mais être entouré de gosses pourris gâtés non merci. Il ne restait donc que les Delta et les Kappa. Le choix à été vite fait : les Kappa sont à part, ils sont en dehors des autres confréries et très franchement, je suis en dehors du reste du monde moi aussi. Et puis... j'ai un petit problème avec l'autorité aussi, d'ailleurs je connais le bureau du Doyen par cœur si vous avez besoin.
Cela fait donc quatre ans que je suis une Kappa. Et très franchement je l'ai mérité. Le bizutage des Kappa n'est pas de tout repos. J'ai dû entre autre : faire du charme à un prof pour avoir les réponses à un examen, foutre le bordel dans une salle de cours en plein examen et les trucs habituels comme faire les devoirs des autres, nettoyer le sol à la brosse à dents, etc... Mais ce que j'ai préféré c'est foutre le bordel dans une chambre de chacune des autres confréries. C'était juste trop marrant à faire et puis voir la tête des habitants après ça, c'était trop drôle. Il n'y a pas à dire chez les Kappa je suis chez moi.
Biographie
They say I'm trouble
They say I'm bad
They say I'm evil
And that makes me glad
Tokyo capitale du Japon. Nous sommes en 2003. Tu viens de fêter tes dix ans. Toi tu t'appelle Eruza Jùndöttir. Tu es la fille de l'ambassadeur d'Islande au Japon et d'une interprète japonaise de l'ambassade. Tu a un grand frère de douze ans et un petit frère de sept ans. Tu es donc la seule fille parmis ses garçons mais cela ne te dérange pas plus que ça. Tu n'es pas très fille de toute façon. Ta famille et toi allé déménager dans l'été. Ton père a été muté aux Etats-Unis. Toi tu es contente, tu as toujours adoré les Etats-Unis. Et puis tu pourras te perfectionner en skate là-bas. Tu es un vrai garçon manqué, sûrement le fait d'avoir été élevée avec deux frères. Tu es la première pour les bêtises, déjà a cette époque tu n'aimais pas trop qu'on te dise quoi faire. Tes frère te surnomment Evil depuis que tu es toute petite car sous ton air d'ange, tu es un vrai petit démon. Toi tu aimes bien se rôle de petit monstre et tu le tiens à la perfection car au premier abord les gens ne se méfient pas de toi. Des yeux bleus, des cheveux blonds, une peau de porcelaine, une vrai petite fille modèle quoi, comment imaginer qu'en fait tu es un petit démon ??
A dirty no-good
Down to the bone
Your worst nightmare
Can't take me home
Rentrée 2003. Tu viens d'arriver à Chicago. Contrairement à tes frères tu n'appréhende pas du tout ta nouvelle vie en Amérique. Tu es dans une école privé, avec des petits bourgeois tous plus coincés les uns que les autres. Tu sais déjà que tu n'aimeras pas les filles d'ici, des pimbêches en puissance. Les garçons sont un peu mieux, mais c'est pas top non plus. A peine installée dans la salle de classe tu cherche le plus faible d'entre tous. Tu finis par le trouver. Un petit bonhomme de ton âge, mais qui est d'une taille plus petite que toi. Il est tout maigrichon et plutôt pâle. Tu souris en coin. Il a le profil idéal. A la récréation tu va le voir un sourire innocent sur le visage. "Hi. Je m'appelle Eruza et toi ??" Il te regarde en reculant légèrement inquiet, on dirait qu'il n'a pas l'habitude qu'on lui parle. "Je...je...je m'appelle Jellal." Je hoche la tête avant de m'éloigner en ajoutant : "Hey bien Jellal, sache que je viens de devenir ton pire cauchemar."
Et c'est comme ça que tu t'es mise à persécuter ce pauvre garçons. Dès que tu le pouvais, tous les coups étaient permis. Et lui il encaissait sans rien dire. Le parfait souffre douleur, tu l'avais dis.
So I've got some mischief
In my blood
Can you blame me?
I never got no love
Été 2008. Tu avais quinze ans désormais et tu avais bien changé physiquement. Tu commençais à te colorer un peu les cheveux de temps en temps. Tu continuais le skate avec tes potes et tu t'étais mis au parkour. Tu faisais parti de la petite famille des Yamakasis depuis peu. L'une des seules filles et l'une des plus jeunes. Mais tu était naturellement douée pour ça, tu avais commencé lorsque tu avais douze ans, tes parents ne le savaient pas. Tu aimais cette sensation d'adrénaline que tu ressentais lorsque tu faisais tes acrobaties. Mais tu n'étais pas la seule à avoir rejoins ce club : Jellal en faisait parti aussi. Avec lui aussi tu avais changé. Un jour des brutes s'en étaient pris à lui, tu l'avais défendu. Tu avais le droit de le martyriser mais les autres n'avaient pas le droit. Après ça tu l'embêtais de moins en moins, vous étiez devenu amis et un soir lors d'une soirée vous aviez finis par vous embrasser. C'était venu naturellement et depuis cette soirée de mai 2008 vous étiez en couple. Tu continuais de le défendre même s'il était moins fragile et lui il essayait de t'amadouer et t'assagir un peu. Vous vous complétiez parfaitement tous les deux.
They think I'm callous
A low-life hood
I feel so useless
Misunderstood
Hiver 2011. Il neigeait dehors mais malgré la neige et le froid tu étais quand même sortie dehors. Aujourd'hui, c'était l'anniversaire de Jellal et tu voulais lui emmener son cadeau, malgré le temps. Tu poussais le lourd portail en fer forgé, ton paquet à la main. Tu remontais l'allée jusqu'à la demeure du jeune homme. Une fois devant lui tu souris avant de dire joyeusement : "Hey Jelly. Bon anniversaire. Je t'ai emmené un petit truc." Tu dégage un peu la neige qui recouvre les pierres devant toi et dépose le présent sur le marbre de la pierre tombale. Une larme perle au coin de tes yeux. Il y a seulement quelques mois qu'il n'est plus là et pourtant tu as l'impression que cela fais des années. Il te manque, il te manque tellement. Et tout en regardant l'inscription de la pierre tombale tu ne peux t'empêcher de penser que si tu n'étais pas là, lui le serait toujours. Oui...sans toi il serait encore là.
Mirror, mirror on the wall
Who's the baddest of them all?
Welcome to my wicked world, wicked world
Été 2011. Tu n'entend plus trop ce qu'il se passe autour de toi. Tout est floue, comme dans du coton. Tu distingue la silhouette de Jellal, ça te rassure. Vous étiez en train de vous entraîner dans un parc désert de la ville. Et puis tout à coup : une douleur au niveau de la poitrine, ta vision qui se trouble, tes muscles qui se bloquent. Tu t'écroule au sol en hurlant. Ton petit ami se précipite vers toi, se demandant ce qu'il se passe. Tu essais de parler mais n'y parviens pas. Au bout d'un moment tu entends des sirènes de pompiers s'approcher. Tu es soulevé par quelqu'un et transporté à l'hôpital. Lorsque tu te réveil tu as horriblement mal de partout. Ta famille est avec toi, mais tu ne vois pas ton amour, cela t'inquiète mais tu es trop fatiguée pour y penser pour le moment. Tu te rendors, te disant que lorsque tu te réveillera ton amour sera là.
Call me a schemer
Call me a freak
How can you say that?
I'm just... unique
Première année d'université rentrée 2011. Depuis la mort de Jellal, tu n'es plus vraiment toi même. Tu es encore plus ingérable en fait. Tu n'écoute plus personne, seuls tes frères arrivent encore à te canaliser un peu, mais uniquement lorsque tu le veux bien. Tu as décidé d'entamer une procédure afin de te marier au jeune homme, car même si celui-ci est décédé il reste ton seul et unique amour. Ta famille ne comprend pas ce choix. Tu t'en fou. Tu écris au gouverneur de l'état afin de demande à prendre le nom du jeune homme que tu aimes. Après environ un an de démarche administrative la demande est acceptée. Tu deviens donc Eruza Drägnïr. Au yeux de la loi tu es donc mariée, même si tu n'as plus de mari.
What, me? A traitor?
Ain't got your back?
I need no friends
What's up with that?
Depuis ta décision de changer de nom ton père ne t'adresse plus la parole. Il a l'impression que tu l'a trahis en changeant de nom comme ça. Tu as essayé de lui expliquer, mais s'il ne veut pas comprendre tant pis. Tu as arrêté d'essayer. Tu te dis que s'il veut te reparler un jour, il le fera. En attendant, tu continue ta vie. Tu as repris ton côté désinvolte et irréfléchis. Tu as toujours des problèmes avec l'autorité. D'ailleurs, le doyen est exaspéré par ton attitude, mais comme tu as de bonne note, il ne dit pas grand chose. Et puis tu reste la fille d'un ambassadeur malgré tout.
So I'm a misfit
So I'm a flirt
I broke your heart?
I made you hurt?
Depuis Jellal tu t'es interdis de retomber amoureuse d'un homme. Alors tu fais ce que tout fille triste ferait. Tu enchaîne les coups d'un soir, les histoires à court termes, etc... Tu es une vrai briseuse de cœurs. Tu n'enlève jamais ton haut devant les autres, même lorsque tu couche, hors de question que quelqu'un voit ta poitrine, c'est ton secret. Seul Jellal avait se privilège. D'ailleurs, à la fac tout le monde te connais sous ce nom. Jellal Drägnïr. Seule ta famille t'appelle encore Eruza. Pour le reste du monde tu es Jellal, tu veux qu'il continu à vivre, même s'il n'est plus dans ce monde. Tant que tu y sera, il y sera aussi.
The past is past
Forgive, forget
The truth is...
You ain't seen nothing yet!
Tu aimerais oublier. Oublier l'homme de ta vie. Alors pour tenter d'oublier tu es devenue une adepte des soirées étudiantes. Tu ramène tout le temps une conquête pour ne pas passer la nuit seule. Tu as aussi adopté un style particulier, un moyen de cacher ton mal être derrière des couleurs vives. La couleur de tes cheveux et celle de tes fringues font penser aux gens que tu es quelqu'un de toujours joyeux, une bout en train et tu leur fais très bien croire ça. Hors de question que quelqu'un sache qu'au fond de toi tu n'es pas comme ça. A l'extérieur tu ressemble à un arc-en-ciel, à l'intérieure...tu es grise...
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