Pourquoi avez-vous choisi d'étudier à l'université de Chicago ? réponse ici.
Quelles sont vos sources de financement universitaire ? réponse ici (papa/maman, bourse, petit job...).
Que pensez-vous du système de confrérie ? réponse ici.
D'ailleurs, faites-vous partie d'une confrérie ? Si oui, depuis combien de temps ? réponse ici (cette partie est TRÈS importante car c'est elle qui déterminera votre acceptation dans la confrérie choisie. Il faut donc détailler vos motivations pour entrer dans cette confrérie, expliquer pourquoi elle et pas une autre, en quoi vous vous sentez proches de vos frères & soeurs étudiants... Si vous avez plus d'un an d'ancienneté, vous avez déjà passé l'année de bizut ; il convient donc d'en parler afin que l'on sache comment vous y avez survécu. A ce stade, le Doyen ou le président de la confrérie en question viendra poster pour vous dire si oui ou non vous pouvez intégrer cette confrérie ; si oui, vous pourrez continuer votre fiche et parler de votre confrérie dans votre histoire. Si non, vous devrez changer de confrérie et parler de ce rejet dans votre histoire également, tout en replaçant bien évidemment les faits à l'époque où ils ont eu lieu (selon votre ancienneté).)
► « Maman, elle est où? »Alors que j'avais seulement quatre ans ma mère est morte. Vous savez à cet âge-là on ne comprend pas une telle chose. Mon père me répondait qu'elle était partie en vacances ou alors qu'elle était au paradis mais même avec cette excuse-là je n'ai pas compris. Souvent je pleurais le soir dans mon lit en me disant que ma maman me manquait mais je ne pouvais rien y faire ni mon père et je le savais déjà à cet âge-là que je ne la reverrais jamais. Mais mon père faisait de son mieux pour combler la perte de ma mère. Il m'achetait plein de poupées, de Barbie, m’emmenait à des fêtes foraines. C’était le meilleur papa du monde. Je me souviens aussi que les professeurs à l'école étaient très gentils avec moi. Ma professeure préférée me faisait même des câlins de temps en temps.
Puis nous vivions en Pologne alors que mon père était américain et qu'il était venu en Pologne pour ma mère. Alors j'ai eu peur qu'il veuille partir mais lui aussi a voulu rester ici. C'était comme un hommage ou une mémoire à ma mère.
► Le pire jour de ma vie.J'avais 15 ans depuis seulement quelques jours. Et ma meilleure amie venait de sortir de l'hôpital. Elle s'était faite agresser par un homme dans mon village, ce qui était étrange puisque cet homme ne laisse aucune de ses victimes s'enfuir. Puisque la description qu'avait donnée ma meilleure amie était celle d'un meurtrier recherché en Pologne. Mais je ne m'inquiétais pas. Pourquoi il voudrait s'en prendre à moi? J'étais une simple polonaise, j'étais bilingue je savais parler polonais et anglais je n'avais rien de plus. Pourtant, quand j'ouvris la porte d'entrée à ma meilleure amie pour qu’elle sorte, un homme était devant la porte de chez moi. Il regardait Amelia en souriant, et elle était allée l'embrasser. J'avais compris que quelque chose n'allait pas, pourquoi elle ne m'aurait jamais parlé de l'homme avec qui elle était?
Et pourquoi il portait des gants en plein milieu de l'été? Je pense que je compris tout quand je remarquai le couteau dans sa main droite. C'était lui le tueur, personne n'avait vu sa tête on savait seulement qu'il tuait ses victimes avec un couteau. J'avais l'impression d'assister à une scène de Scream. Je commençais par essayer de fermer la porte et même si ce fut un échec je partis en courant et traversai la moitié de ma maison. J'étais avec mon père dans la maison et il m'avait entendu hurler, je n'aurais pas préférée. Mon père se fit poignarder par l'homme qui avait embrassé quelques minutes avant ma meilleure amie. Enfin ce n'est plus vraiment ma meilleure amie étant donné qu'elle était complice. Je ne comprenais rien à cette histoire je ne sais pas qui pourrait comprendre une telle chose. J'étais sortie de la maison en appelant la police, je croyais que mon père m'avait suivi, qu'il était sorti de la maison. Mais quand je me suis retournée, je l'ai vu par la baie vitrée, allongé au sol et il saignait. Mais je ne voyais plus Amelia et l'agresseur. La première chose que je fis c'est de hurler. La plupart de mes voisins sortirent de leurs maisons quand ils m'entendirent. Je laissai tomber mon téléphone au sol et courus vers mon père. Il ne respirait plus. Et moi je hurlais et je m'effondrais au sol. Je compris rapidement que j'étais orpheline à l'âge de seulement 15 ans.
► La vengeance est un plat qui se mange froid.J'avais maintenant 16 ans et toutes les nuits je faisais un cauchemar sauf que c'était plus un souvenir qui revenait également quand je dormais. La journée de la mort de mon père. Le jour où je suis devenue orpheline. Ce jour-là nous étions le 10 février 2006, cela faisait un an et j'aurais préféré mourir. Mais j'avais fini par trouver où habitait cet homme. J'étais devant chez lui avec plusieurs bidons d'essence dans le coffre de ma voiture et tout ce qu'il fallait pour mettre le feu à sa maison. J'étais persuadée qu'il y était avec toute sa famille mais je n'en étais pas si sûre que ça finalement. Pourtant je mis le feu à sa maison qui était à Varsovie. Quelques jours plus tard il y avait une annonce dans le journal disant qu'une maison avait été brûlée et que ce n'était pas par accident. Et aussi qu'il y avait deux victimes. Je m'étais toujours dit que c'était lui et sa femme.
► Ce qui doit arriver arrivera.
J'ai maintenant vingt cinq ans, je vis seule, enfin si l'on ne compte pas le bout de chou naissant dans mon ventre. Et je vis aussi à Cougar Town. Je suis enceinte de maintenant 3 mois et 2 semaines. Et le père ne le sait même pas et contrairement à ce qui se passe habituellement. Cette fois c'est moi qui ai fui mais bien sûr j'avais mes raisons. Au fil du temps j'avais fini par comprendre qu'il était en réalité le fils de l'homme qui a tué mon père. Il ne le savait pas. La seule chose que lui savait c'était que sa soeur et sa mère étaient mortes dans l'incendie de leur maison. Et que son père s'était enfui. Je dois avouer avoir eu la peur de ma vie quand il m'a annoncé cela. Mais quand j'ai eu vraiment peur c'est quand le père de x m’a attrapée dans une ruelle sombre, il ne savait pas qui j'étais et je sais que j'étais la femme la plus chanceuse au monde à ce moment-là. Il m'avait dit que si je ne quittais pas son fils il ne se gênerait pas de me tuer. Selon lui je n'étais pas la fille qu’il méritait. Mais je ne me suis pas éloignée de x pour cela. Je l'ai fait car son père était tellement un malade qu'il aurait été capable de tuer son propre fils. Alors je vis seule en lui ayant dit que c'était mieux que l'on se sépare. Il a bien sûr cherché à me recontacter mais j'ignore ses appels. J'espère qu'il ne viendra pas frapper à ma porte.