Jules M. Valbjörn----» U.C.

Kornbarn, drukkin maðr og dárinn segja sannleikann----Children, fools and drunken men tell the truth

Extravertie - Du genre discret - A l'air froid et Hautain - Pas bosseur. - se repose beaucoup sur ses capacités -Blagueur - fêtard - Perfectionniste - maniaque du contrôle (qui tente de guérir  ) - Râleur - Rancunier - Taquin  - Artiste dans l'âme -

Confrérie ➜ PHI DELTA THETA - ΦΔΘ (. Années d'ancienneté ➜ 1 an

Pour entrer dans les Phi Delta Theta n’a pas été aussi facile. C’est vrai que l’argent de mes parents on joués un grand rôle à mon acceptation. Ce n’était pas mon premier choix de confréries à rejoindre mais puisque Ana, Natanael et Finni l’avaient fréquenté, je n’avais pas trop le choix. J’avais tous les caractéristiques pour être un bon Brother. J’ai survécu au bizutage et je pouvais vous dire que ce fus assez horrible au point d’en être presque illégal. De la quasi humiliation jusqu’au fête XXL. Le premier critère pour essayer d’entrer dans la confrérie avait été d’emmener un relevé bancaire pour prouver que j’avais une fortune. C’était n’importe quoi. Une fois que je fus intégrer, je pouvais bien voir que nous étions tous des hypocrites et égoïste dans cette confrérie. Nous semblions nous aimés pendant les fêtes, les oeuvres de charités ou autres, mais en réalité nous étions des langues de vipères, de vrai serpent entre nous.

01. Je n'aime pas les araignées. 02. Je dis parfois que je suis New-Yorkais, mais en réalité j'y suis resté quelques semaines03. J'ai un tatouage sur son avant bras. 04. J'ai un faible pour la glace à la pistache. 05. J'ai tenté d'empoisonner quelqu'un. 06. Je mens sur ma vie amoureuse et mes conquêtes. 07. Je veux partir de Chicago. 08. Aime le brocoli.

Sur ma famille

Mes parents sont de l’Islande. J’ai une grande sœur (Ana) et deux autres grand-frère (Natanael et Finni). Comme vous l’avez compris, je suis le plus jeune. Mon père est un boxeur de renommée mondiale et ma mère est une businesswoman hors paire. Elle fonda son entreprise d’importation et exportation à Reykjavik et cela avait fonctionné à merveille en lui rapportant aussi beaucoup d’argent. Mon père n’était pas beaucoup à la maison, car il voyageait assez souvent pour des compétitions internationales de boxe. Ensuite, dès que mes ma sœur et deux frères soient nés, ma mère fut contacté pour devenir actionnaire majoritaire d’une compagnie assez profitable en exportation et importation aux Etats-Unis.  Elle avait obtenu une promotion qu’elle ne pouvait pas refusé. Ce fut un des moments les plus dures pour mes parents, car ils devaient décidés s’ils quittaient l’Islande, pays dont ils avaient toujours été heureux, pour aller vivre l’American Dream à Chicago, ville renommée pour sa violence extrême. Après plusieurs réflexions, mes parents ont décidé de préparer leurs valises avec leurs trois enfants et partir pour une nouvelle vie qui sera encore plus luxueuses qu’avant.  Aux États-Unis, mon père décida de prendre sa retraite et de fonder un école de boxe, où les plus démunis pouvaient y apprendre la boxe. L’ultime but était aussi de contrer le décrochage scolaire dans le Quartier Sud de Chicago.

Mon enfance:

Maintenant un peu sur moi. Je suis né à Manhattan, New-York. C’est un peu bizarre n’est-ce pas, car que mes parents sont établis à Chicago. La seul raison pourquoi je suis né là-bas est que ma mère devait se rendre pendant pour quelques mois à New York pour la compagnie et revenir juste à temps pour l’accouchement, mais je suis né un mois prématurément, alors elle n’a pas eu le choix de rester quelques mois de plus. Mon enfance n’a pas été l’enfance que la plupart des jeunes de Chicago vit. J’ai toujours eut ce que je voulais, mais à y penser maintenant, j’ai manqué de beaucoup d’amour parental. En étant le petit dernier, vous pensiez peut-être que j’allais être le préféré et le plus chanceux, mais au contraire je fus celui qui eut le plus de pression. Mes parents essayaient de me contrôler et me faire faire tout ce que mes frères et ma soeur n’ont pas pus faire. Je fréquentais l’école privée et mon père me forçait à m’intégrer dans la communauté sportive de l’école et de bien sur faire la boxe.  Je n’ai jamais vraiment aimé ça et je refusais toujours. J’étais doué à l’école même si je n’étudiais jamais (ce qui ne plaisait pas à mes frères et ma soeur), excepté en sport. L’art était la matière que j'aimais le plus.

Adolescence:  

Pendant mon adolescence, les pressions sur le sport étaient bien plus présentes, car mon frère commença à faire de la boxe professionnelle. Je semblais le seul qui n’était pas intéressé à faire du sport dans la famille. J’étais comme le petit mouton noir de la famille. Le seul sport que je tolérais était la natation. Mon père n’approuvait pas que je pratique la natation en disant que c’était un sport de fillette. Je développais de plus en plus l’amour pour l’art. J’avais un certain talent en peinture. Durant mon High School, j’avais plein d’amis et j’avais bien sortir avec eux. dans les parcs, les cinémas et au centre-ville. Ce ne fut pas très long que je commença même à vouloir faire la fête et boire malgré mon jeune âge. J’essayai le plus possible de sortir de la maison et de me distancier de mes parents. Si je ne sortais pas, j’étais au studio pour faire de la peinture. Je pouvais y passé des heures à peinture et même à recommencer des toiles, car ils n’étaient pas parfaites. Côté amour durant mon adolescent, je n’ai eu qu’une petite amie. Cela ne dura que quelques semaines et je n’en avais jamais parlé à personne. Je me demandais si un jour j’allais bien être en amour avec quelqu’un. Je ne savais pas trop ce que je voulais, alors les conquêtes étaient loin d’être ma priorité. À la fin de mon High School, je m’en était tiré avec des assez bonnes notes pour pouvoir faire l’école de droit, malgré je n’aimais pas bosser. Je savais très bien que cela allait changé à la fac.

Jeune adulte:

Maintenant je suis à l’université en droit et science politique, car je dois plaire à mes parents et continuer dans la compagnie de ma mère. Ce n’était pas ce que je voulais de ma vie, mais je n’avais pas le choix en quelques sortes de le faire, car sinon je n’allais pas hériter de leur fortune. Mes amis proches le savait très bien que je n’aimais pas ce que j’étudiais, car je me plaignait assez souvent. Beaucoup de gens disent que je suis quelqu’un de froid et assez snob au premier abord (ce qui sont des traits de famille, soit dit en passant), mais j'essai de m'améliorer avec le temps.

Benjamin Eidem - scénario (inventé, scénario)