| Sujet: this is madness ► laurel. Dim 4 Oct - 11:51 | |
| Maxine Laurel Hellington Danielle CampbellNée le 25 décembre 1993 à Midland (Texas, Etats-Unis), j'ai 21 ans et suis de nationalité Americaine aux origines grecques et espagnoles. Si vous voulez en savoir un peu plus sur moi, sachez que je suis plutôt riche et que je le vis pas trop mal ! Actuellement célibataire, je tiens à préciser que je suis plutôt du genre hétéro... Désolée d'avance pour les cœurs brisés. Diplôme préparé : Bachelor.Cycle & année d'étude : Dernière année de bachelor, elle entame sa quatrième année.Cursus majeur : Droit international.Spécialisation : Droit pénal humanitaire.Cursus mineur : Langues étrangères. | |
Personnalité & addictions Drôle - 90% Réfléchie - 50% Créative - 60% Travailleuse - 80% Fêtarde - 60% Narcissique - 20% | Artiste - 40% Amicale - 80% Jalouse - 50% Méfiante - 90% Sportive - 60% Prude - 30% | Généreuse - 70% Têtue - 80% Hautaine - 10% Séductrice - 70% Honnête - 90% Joueuse - 85% |
Alcool : 60% | Drogues : 00% | Sexe : 70% |
Renseignements multiples Pourquoi avez-vous choisi d'étudier à l'université de Chicago ? C'était la seule université où le cursus "droit" a su me convaincre et puis, j'ai toujours rêvé de faire mes études à Chicago. J'avoue qu'au départ je me sentais complètement perdue mais j'ai vite pris mes marques. Quelles sont vos sources de financement universitaire ? J'ai obtenu une bourse mais mes parents sont derrière. Quand papa est haut gradé dans l'armée de l'air et que maman est une psychiatre, elle aussi, au sein de l'armée et que tout les deux possèdent une chaîne d’hôtels à travers le monde l'argent ne pose pas de problème. Même s'il faut avouer que j'en suis loin d'en tirer profit et c'est pour cela que j'ai préféré trouver un petit job pour dépendre de moi-même. Que pensez-vous du système de confrérie ? Je trouve ça cool même si, parfois, les petites guéguerres entre confréries m'énerve. Ce pendant, arriver dans une université où on ne connait personne est déstabilisant et j'ai donc choisi d'appartenir à l'une d'entre elle pour me sentir moins seule et connaitre pleins de monde. Une grande famille, c'est ça que je voulais et je l'ai. D'ailleurs, faites-vous partie d'une confrérie ? Si oui, depuis combien de temps ? Alpha Omicron Pi - ΑΟΠ depuis quatre ans, parce que le Girl Power quoi ! La chose la plus importante pour moi en dehors de la famille, c'est bien les copines. L'amitié des filles c'est sacré, et c'est pas un garçon qui risque de détruire ça ! Et puis, il faut le reconnaître, je suis une sacrée coquette qui adore passer des heures à se pouponner devant la glace. Mais belle ne signifie pas idiote ou naïve, loin de là. Je suis une personne perspicace et intelligente, qui sait très bien cerner les gens. Derrière mon joli minois, j'ai du caractère et n'ai pas peur de dire ce que je pense. J'aime charmer les beaux mâles du campus, mais à l'inverse je peux être aussi relativement jalouse. Enfin je suis une fille bourrée de bonne humeur, qui respire la joie de vivre. Toujours partante pour m'amuser, je possède aussi un grand sens de l'humour et un radieux sourire qui illumine H24 mon visage d'ange. Très ouverte d'esprit et tournée vers les autres, je ne jugerais jamais personne, mais possède néanmoins une très bonne répartie pour clouer le bec des médisants. Pas du genre à me prendre la tête, je suis mon petit chemin tranquillement. J'ai ,quotidiennement, besoin de me défouler que ça soit grâce aux voyages humanitaires ou autres œuvres caritatives, je ne suis pas à cours de passions. Riche des voyages que j'ai pu effectuer par le passé, mon inspiration et ma créativité sont au beau fixe et engendrent chez moi, ma personnalité si haute en couleurs. Mes études sont très importantes et je mets beaucoup de cour dans ce que je fais. Egalement sportive dans l'âme, c'est ma façon de m'exprimer autrement que par les mots, de faire passer des messages beaucoup plus profonds. On dit que je suis une sacrée fofolle qui est bien dans sa peau. Bizutage: - Citation :
- Malgré le coeur que tu caches, tu peux t'’avérer tenace et saloperie à souhait et ça, tes bizutrices l'ont bien compris. En demandant de rejoindre les alpha, tu savais très bien à quoi tu devais t'en tenir. Cette sororité est réputée pour être stricte et difficile et peu de jeunes recrues tiennent le coup. Pour ton bizutage, tu devais faire en sorte d'humilier une élève tout simplement en lui présentant un sigma. Là était ta première tâche. Celle-ci fut réussie, tu ne devais plus qu'à attendre que ce sigma en question la charme et la mette dans son lit. Tu savais que cela n'allait pas être évident pour lui alors tu as tout simplement décidée de te faire passer pour une amie pendant quelques mois. Tu la conseillais et tu la rassurais en lui disant que ce sigma serait parfait pour sa première fois, qu'elle n'avait rien à craindre, que ce qu'il ressentait pour elle était vrai. Bien évidemment, tout cela était faut mais cette pauvre victime, elle, ne se rendait pas compte de ce qui se tramait autour d'elle mais surtout contre elle. Le jour J. arrivait vite. Encore une fois, tu étais faussement à ses côtés. Tu l'avais invitée à une rêve party organisée part les alpha où seuls les sigma et les delta pouvaient y participer. Tu lui as envoyé un texto en lui disant de te retrouver devant la grande porte de la maison alpha. Elle avait longuement hésité sachant que cette soirée était privée mais tu l'as convaincue, tu lui as dit qu'il serait là et que de toute façon, tu l'avais invitée. Elle craque. La soirée se passe et les pilules voyageaient. Tu lui en donne une. Elle la prend, ayant confiance en toi. Tu as laissé la place au sigma tout en surveillant. Tu les as vu monter à l'étage, dans ta futur chambre, ayant pris soins de leur "prêter". Tu savais ce qui allait ce passer mais tu n'avais pas hésité une seule seconde à monter avec une caméra une heure après, les filmant en plein ébat sexuel. Quelques heures après, cette vidéo se retrouvait sur toutes les chaines vidéos du campus passant par tout les téléphones des étudiants. Tous avaient vu cette humiliation construite de toute pièce par tes mains machiavéliques. Tu te rappelleras toujours de son visage, ses larmes quand elle a compris que non seulement elle s'était fait humiliée encore et encore mais surtout de voir tes bizutrices alpha t'applaudir et rire aux éclats.
Biographie Une femme qui était debout au dessus d’un berceau. Brune, belle, grande et assez menue, elle contemplait son enfant qui était probablement le sien, à en juger par sa couleur de cheveux. Anna le portait sur elle et malgré ce caractère de feu, elle avait accepté la demande en mariage de Monsieur Hellington. Elle était tombée amoureuse de son mari, quelques années avant leur mariage, quand celui-ci avait appris qu’elle était enceinte, cela avait changé cet homme, le rendant bien plus humain. Les fruits de leur amour était devant ses yeux pour la quatrième fois: une petite fille de quelques jours à peine, qui n’avait toujours pas de prénom. Elle le regardait et lui chantait une berceuse. Soudain, Hellington père entra et pris sa femme dans ses bras avant de gazouiller avec le petit bout de chou, comme quoi un enfant cela vous change un homme. « Chut, tu vas la réveiller ! » dit-elle en grognant et posant son doigt sur ses lèvres pour signifier à son mari de se taire. Celui-ci reconnu son erreur, et fit une sorte de mea culpa, malgré le bruit, le bébé dormait toujours profondément. Hellington mère se colla contre son mari et dit alors : « Elle est tellement adorable, je songeais à l'appeler Maxine, elle est tellement mignonne. ». Maxine ? À ce prénom, son mari esquissa une moue boudeuse, et fut légèrement surpris. « Maxine ? » Il répéta ce prénom, et ajouta : « Tu… tu crois ? J’avais pensé à Laurel, c’était plus… » Hellington mère lui jeta un regard noir, il osait critiquer Maxine ? « Non, Maxine, c’est parfait, tellement. Maxine Hellington ! » Hellington mère était une femme de fort caractère qui arrivait à imposer ses propres idées.
Maxine marchait à pas de loups. Elle retenait sa respiration le plus longtemps possible avant de relâcher la pression aussi doucement qu'il lui était possible, tentant de faire le moins de bruit possible. Ses pas étaient aussi légers que celui des ballerines concourant dans une prestigieuse école de danse classique, excepté que la petite fille de huit ans n'avait jamais appris, pour l'instant, d'autre danse que la valse. Un, deux, trois... Un, deux, trois... Elle retint à nouveau son souffle mais, dans cette habitation spacieuse, seule une mauvaise gérance de ses mouvements pouvait la faire repérer : elle avait en effet à s'inquiéter de créer malencontreusement un écho. La fillette s'approcha de la sortie, rétractant par réflexe son cou dans ses épaules. Alors qu'elle allait poser la main sur la poignée de la porte, une voix grave retentit dans son dos, lui faisant esquisser un sursaut. « Ne t'avais-je pas interdit de sortir cet après-midi, Maxine ? » La petite fille sursauta à nouveau en entendant son père la nommer. Puis elle rougit de déplaisir, s'exclamant : « Je suis sûr que tu triches ! Comment as-tu fait pour savoir que ce n'était pas Hélios ? Je n'ai fait aucun bruit cette fois-ci !» Elle s'approcha vivement de son père qui lui tournait toujours le dos. Ce dernier n'avait pas bougé depuis sa première interpellation : il tenait toujours son journal international grand ouvert devant lui, tandis que reposaient sur la table tout ce qui était nécessaire à un petit-déjeuner équilibré. Il but tranquillement une gorgée de son café, tandis que Maxine reprenait : « C'est la cuillère, c'est ça ? Tu as vu mon reflet à l'intérieur, c'est comme ça que tu as su. Il n'y a pas d'autre explication ! » Il rit. « Je n'ai pas touché à la cuillère. Vérifie par toi-même. » Maxine ouvrit grand les yeux tandis qu'elle rapprochait l'objet de son visage. En effet, les seules marques de doigt présentes alors étaient celles qu'elle venait de former en prenant le couvert. « Ne sois pas mauvaise joueuse Maxine. Je t'avais promis de t'offrir ce cheval si tu réussissais à passer devant moi sans que je ne te voie. Tu as déjà tenté plusieurs fois, sans réussite. Je ne peux donc pas respecter ma part du marché. » L'enfant se mit à bouder. « Dis-moi, alors. Comment as-tu su que j'étais là ? » Le regard de son père se fit rieur, tandis qu'il lui énonçait l'un des plus importants commandements qui régiraient par la suite sa vie. « Connais-tu le proverbe qui rend invisible ? » « Si tu veux que quelqu'un n'existe plus, cesse de le regarder », énonça l'enfant. Son père hocha la tête, satisfait de sa traduction. « Il ne suffit pas de vouloir qu'on arrête de te regarder, pour que tu n'existes plus. Les autres te regardent pour de nombreuses raisons, qu'il s'agisse de la crainte que tu peux leur inspirer, de la fantaisie qu'ils trouvent dans tes habits, ou de l'ennui qui les prend. Pour que quelqu'un cesse de te regarder, pour que tu n'existes plus à ses yeux, il ne faut donc pas qu'on te craigne, que tu te montres trop originale ou trop ennuyeuse. Alors, seulement, tu auras suffisamment réussi à gagner leur confiance pour faire partie intégrante du décor, et agir comme tu le souhaites sans rendre de comptes à personne, en réussissant à recueillir certaines informations secrètes. C'est ainsi, et seulement ainsi, que les autres ne pourront plus avoir d'emprise sur ton être physique. As-tu compris, Maxine ? » Il rit à nouveau, devant l'empressement de l'enfant à lui répondre affirmativement. En réalité, il ne doutait pas un seul instant que sa fille agissait ainsi pour obtenir son approbation, plus que par réelle compréhension. Cela viendrait, en grandissant. C'était un père exemplaire, en cela qu'il arrivait à ne pas altérer le caractère de sa fille, mais de le développer en l'incorporant à ses propres objectifs politiques. « Tu ressaieras demain, ne sois pas si déçue. Je te donne autant de chances que tu en auras besoin. Maintenant, va ! » La fillette s'échappa de la salle à manger de son pas vif et léger tandis que, sans en avoir l'air, son père venait de stimuler son esprit de compétition. Maxine avait, de nombreuses fois, réessayé de passer sous le regard de son père mais sans succès ce qui amusait son père encore et toujours.
Pourtant elle grandit vite et Maxine atteint aussi rapidement ses dix-huit ans et reçoit sa lettre pour l'université. Cette université, un second foyer pour beaucoup de jeunes étudiants. En dernière année de lycée, elle ne se posa même pas de question sur son avenir: le droit international. A l'université, on connait surtout Maxine pour être une jeune femme qui n’a pas sa langue dans sa poche même si il faut bien l'avouer, malgré son rang, elle se mêle toujours avec les plus pauvres comme les plus riches du moment qu'ils ne s'apitoyaient pas sur leurs sorts. Bornée, elle n’hésite pas à tenir tête devant d'autres élèves imbu d’eux même, elle déteste ça et sait les remettre à leur place. Futée, espiègle, courageuse et téméraire: elle fonce tête baissée vers le danger quand un des siens a besoin d'elle. Mais bien qu’elle fut très nette sur sa vision de certain élèves, il y en a qui n’ont toujours pas saisi cette idée. Malgré son envie incessant de rire, Maxine se révèle être un élève extrêmement talentueuse et surtout très travailleuse. Elle n'oublie son objectif principale, et est poussée par une vraie volonté de feu. Ses camarades du campus l’apprécient beaucoup pour son caractère direct, et son intelligence. Il y a même quelques bruits de couloirs qui s’émerveilleraient sur sa beauté. Mais elle n’y prête guère attention -enfin c'est ce qu'elle prétexte-. | Moi c'est dark love !J'ai 24 ans, je suis une licorne et je vis en le pays imaginaire . J'ai découvert le forum grâce au partenariat avec ILH et je le trouve génial à première vue ! Sinon, je serai connectée rarement la semaine mais souvent le week-end et je devrai pourvoir RP environ j'en sais rien :nq: Cela dépendra du bon vouloir de mes profs . |
Dernière édition par M. Laurel Hellington le Dim 4 Oct - 18:08, édité 14 fois |
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Lux Ó CearnaighFONDATRICE - NOTRE MÈRE A TOUSJe suis à Chicago depuis le : 03/06/2011 et j'ai déjà rédigé : 3705 messages. J'ai : 24 ans d'après mes amis. Dans la vie, je suis : doctorante (troisième année) en ingénierie, spécialisée en robotique
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