➜ hemmings, spencer jay.
➜ il a actuellement vingt-sept ans.
➜ né à aberdeen en écosse.
➜ il est américano-écossaise (sa double-nationalité a été obtenu récemment).
➜ les principales sont canadiennes et françaises.
➜ riche (l'argent, c'est la vie).
➜ célibâtard.
➜ il est plutôt penché vers la gente féminine.
➜ sixième année (graduate).
➜ master.
➜ journaliste, spécialité presse écrite/présentateur télé.
➜ informatique.
Confrérie ➜
KAPPA ALPHA PSI.
Années d'ancienneté ➜ c'est ma sixième année.
Je suis le roi des cons. Voilà, je l'ai dit. Inutile de le cacher plus longtemps, j'ai jamais eu tendance à mentir - quoique, ça dépend parfois - Cette fraternité ? Honnêtement, c'est la meilleure. Rebelle dans l'âme, je le suis un peu, beaucoup et passionnément. J'ai toujours été le 'perturbateur' ou le 'clown' de service étant enfant. On peut dire que ça n'a pas changé. Les
Kappa sont probablement fiers d'avoir un mec comme moi dans leur rang, même s'ils ne le disent pas. J'ai jamais été tout blanc, plutôt tout noir dû à certaines phases de ma vie assez traumatisantes. Qu'importe. Je suis (très) rancunier et si quelqu'un s'avisait à m'emmerder, je le ferai savoir. J'ai toujours eu un problème avec l'autorité. Transgresser les règles et concocter des plans tordus pour ne pas se faire pincer par le directeur, c'était mon truc. Balancer des œufs pourris le jour de Mardi Gras ou encore, passer pour un insomniaque dans le seul but de faire ouvrir la porte des
Alpha, là encore, c'était mes idées.
Bien sûr, j'ai toujours été un fêtard dans l'âme, je le sais, j'ai un don pour ça. Sans me vanter, je vous assure que c'est vrai ! J'aime bien foutre le bordel dans une fête même si je préfère largement être derrière le comptoir, à servir des verres aux jolies filles. Pour en revenir aux Kappa, j'ai toujours bien aimé leur état d'esprit : ne pas trop se la ramener et être pote avec ceux que t'apprécies. Conclusion, c'est tout-à-fait moi.
En ce qui concerne mon bizutage, j'en parle pas spécialement car ça a été délicat ce soir-là, surtout pour l'urgentiste qui m'a retiré la bouteille de Bud coincée dans mon... Enfin vous voyez. Et encore, je vous ai pas tout dit.
Par ces temps de crise, M et Mme Hemmings s'était retrouvés. La raison de leur venue ? Leur divorce On pouvait penser que ce divorce allait se régler en bonne et due forme mais dès leur arrivée, dès leur regard croisé et dès le soupir d'agacement de Madame Hemmings, la tension explosa .. de plus belle. «
Ce n'est pas moi qui ait la garde des enfants. C'est toi. » Monsieur Hemmings était un type à l'apparence anodine. Ce n'était pas franchement un bellâtre mais son intelligence, sa culture et son porte-monnaie compensaient largement. «
Oui, et alors ? » «
Et tu peux me dire où ils se trouvent actuellement ? A la maison ? Chez ta mère ? » «
Non mais je rêve ! C'est un problème qu'on a déjà évoqué, on est pas là pour ça et encore moins pour parler de ma mère. » Tandis que Madame Hemmings était une femme fougueuse, coriace et indépendante, probablement grâce à ses origines italiennes. D'une beauté à couper le souffle, certains se demandaient pour quelle raison le Destin l'avait poussé dans les bras d'un homme tel que son époux, le portefeuille probablement mais qu'importe, les contraires s'attirent. «
Chez ta soeur ? » Monsieur Hemmings avait le don de titiller les femmes. Il le faisait tant dans sa vie professionnelle que dans sa vie sentimentale. En tant que businessman de renom, son emploi du temps s'avérait beaucoup chargé au point qu'il ne puisse pas voir aussi souvent qu'il l'aurai dû sa femme. En revanche, pour ses enfants, c'était une autre paire de manche. Il s'avérait être un père dévoué et attentionné et personne ne pouvait lui reprocher cela. «
On est pas là pour parler de ça et je suis une excellente mère ! » «
Ou peut-être dans la caserne des pompiers à traîner avec des pompiers sympas ? » «
J'en ai plus qu'assez de ces allusions douteuses à propos de la manière d'élever nos enfants ! » Madame Hemmings, de son prénom, Katy, était très souvent irritée vis-à-vis des remarques désobligeantes que lui lançaient régulièrement son époux. De toute évidence, leur union n'allait pas tarder à voler en éclats. «
Ils sont à la maison. Et j'ai le droit de te poser des questions à propos des enfants alors réponds ! » «
Ca fait sept ans que je m'occupe d'eux et je vais très bien ! » Nouvelle crise d'exaspération et nouveau questionnement de la part de Simons -futur ex- mari de Katy. «
Je te demande où sont les enfants ?! » «
Simons, je te déteste ! » «
Alors j'ai une idée, pourquoi tu n'irais pas te faire foutre ? » Bien entendu, pour les deux avocats, plus la situation tournait au vinaigre et plus le temps défilait et plus ils gagnaient de l'argent et plus... Bref. A présent, ils se devaient de passer à l'action et traiter les diverses demandes requises telles que 'qui garde la maison ? Et le chien ? Et le palmier ?' Mais avant d'entamer les phases protocolaires, l'un des avocats osa prononcer le mot
miles et la situation dégénéra une nouvelle fis.
Round two. «
Je veux ces miles. » Le plus judicieux serait de partager et faire moitié-moitié ; c'est ce que proposa Ben, l'un des avocats. Manque de chance, vu la tronche que tirait l'époux, il était clair que sa réponse n'était pas satisfaisante. «
Il n'en est pas question ! J'ai gagné ces miles. » Bingo. «
Grâce à tes allers-retours à Boston pour voir ta p*te ? » Il n'était pas rare d'assister à une pléiade de disputes, surtout dans ce genre de circonstance. Simons Hemmings, était certes, un homme occupé ainsi qu'un père de famille respectable mais également un séducteur invétéré. «
Ce n'est pas une p*te, c'est une femme qui est libérée sexuellement. » «
C'est une strip-teaseuse alors arrête ! » Katy Hemmings avait engagé un détective privé pour pister son mari et savoir si ce dernier entretenait une liaison extraconjugale. Ses dires se concrétisèrent rapidement lorsqu'on lui montra des clichés de son mari, à l'autre bout du monde, en compagnie d'une charmante jeune femme... beaucoup plus jeue que lui. «
Non ce n'est pas vrai ! » «
Elle s'appelle Angel et c'est une poufiasse aussi inculte que toi, analphabète ! » De son côté, Simonsl ne niait pas cette relation. Il est clair que son mariage battait de l'aile depuis bien longtemps alors il s'était dit que trouver une autre femme ne pourrait que lui faire du bien, beaucoup de bien. «
Vas-y, prends donc tes calmants de merde. » Sous antidépresseurs, Katy tentait de calmer ses pulsions et autres maux de tête qui la rongeaient depuis un bon moment. Peut-être que la solution à son problème se trouvait là, juste sous son nez, mais qu'elle était trop aveugle pour s'en rendre compte. Les avocats finirent par changer de disque, discutant du bon vieux temps où tous les divorces se déroulaient sans encombres, ou les (ex)partenaires quittaient le cabinet, l'air béas et le sourire aux lèvres. Ils vinrent même à entamer un chapitre sur le mariage des deux amants, parlant de leur deux beaux enfants et de la chance qu'ils avaient de les avoir. Finalement, Simons et Katy s'accordèrent un léger hochement de tête. «
Vous voulez bien lui donner un verre d'eau pour ses cachets. » L'un des avocats s'activa à tendre un verre d'eau à la quadragénaire avant de scruter le visage du mari, impassible. «
Tu garderas les miles. » «
Non chérie, garde les. » Les papiers furent enfin signés. Simons et Katy étaient désormais divorcés et Katy avait la garde légitime de leurs enfants sans parler du fait qu'elle avait gagné les miles et que la maison sera bientôt sienne.
Mars
2008. Le divorce et toutes les emmerdes que ça comportait, c'était du passé. Je me présente. Spencer Hemmings, 27 piges, étudiant à l'Université de Chicago en sixième année de journalisme. J'ai vécu quelques temps chez ma mère avant de me trouver mon propre appartement (oui, il était temps). Je basculais parfois avec la résidence de mon père mais c'était pas pareil. L'ambiance était clairement moins cool. Je vous cache pas que j'ai toujours été proche de mes parents, même après leur divorce, ça n'a pas changé. Je me rappelle des bons moments passés avec eux, principalement quand j'emmerdais ma soeur. Tiens, ça me rappelle ce moment-là...
#DÉBUT FLASHBACK ~En ce moment, ce que je fais ? Je suis planté devant le pc, à mater le profil Facebook de ma soeur. Un passe-temps comme un autre, j'aime bien l'espionner et surtout voir si ses amies sont bonnes ou non. «
SPENCER ! Qu'est-ce que tu fous ici ? Tu dégages de ma chambre et de mon ordi ! » Elle, c'est ma soeur, Marla. Elle est un peu sous les nerfs ces temps-ci car elle ne sait pas si le gars avec qui elle veut sortir va vouloir sortir avec elle. Les histoires de filles, ça n'a jamais été mon truc, logique. «
Qui c'est ce... Dan ? C'est un ami à toi ? Il est sympa ? C'est ton p'tit copain ? » lançais-je à ma soeur avec une voix mielleuse. Bien sûr, elle déboula dans la chambre, jouant des coudes pour fermer la fenêtre de son compte ... en vain. En quelques instants, j'avais eu le temps d'envoyer un message à ce fameux Simon, lui demandant s'il voulait bien sortir avec ma soeur - en me faisant passer pour elle, bien sûr - «
Qu'est-ce que t'as fait ? Bordel Spencer, t'es vraiment chiant ! » Je ne pus dissimuler plus longtemps mon sourire narquois et m'ôtais de son siège pour m'affaler sur son lit. «
S'il te répond non, c'est que c'est vraiment un pauvre con. » «
Ouais, comme toi ? T'y connais rien à ce sujet-là alors écrase ! » En bon frère que j'étais, je protégeais ma sœur contre tout individu suspect qui entrait dans sa vie sauf que parfois, l'inverse se produisait et c'était elle qui prenait la relève. «
Je te rappelle que l'autre folle que t'as eu en copine t'as quitté parce que tu buvais trop, celle d'avant parce que tu l'as trompais, celle encore d'avant parce que t'étais sorti avec sa meilleure amie et ... » «
Ca va, j'ai compris. C'est pas pour autant que je suis pas un bon frère. » Mon sourire voilait les pensées qui imprégnaient mon esprit suite à tout ce que ma soeur venait de débiter. Ouais, c'est vrai que ma vie sentimentale était merdique mais je savais qu'un jour, la chance serait de mon côté. « Et à Harvard, ça se passe bien ? » «
Chicago. » «
Ouais, peu importe, t'façon, c'est la même chose. Alors ? » J'haussais des épaules avant de me redresser, malaxant un instant mon crâne avant de planter mon regard dans celui de ma soeur, curieuse de savoir ce que je pensais de cette
super fac de la mort qui tue, comme elle se plaisait à me le sortir, assez souvent. «
Ca va pour l'instant. Les profs sont cools, les gars de ma fraternité aussi et... » «
Quoi ? T'es dans une fraternité ? Putain, ça doit être génial ! Moi aussi j'irai là-bas et je serai dans la fraternité la plus populaire du campus parce que.. » «
Hey, redescends d'ton nuage. T'intègres pas une frat' en un claquement de doigts même si pour moi, ça a été du gâteau vu que je suis tellement parfait que tout le monde me voulait. » Nouveau sourire colgate suivi d'une volée de coussins en plein visage. La vie étudiante, c'était vraiment le pied. Tout le monde ou du moins, ceux qui ont fait des études, vous le diront. Et encore plus à Chicago. Si j'ai choisi d'étudier là-bas c'est parce que le campus m'avait beaucoup plus emballé qu'à Columbus, Detroit ou encore Indianapolis. «
MARLA ! Viens m'aider ! » Ma mère venait de rentrer des courses, me faisant immédiatement sortir de mes pensées. «
Oui Mama, va l'aider. » Mama, c'était THE surnom que ma soeur détestait mais je dois dire que ça lui allait bien. «
Raaah, J'arr ... IVE ! Toi ! Pas touche à l'ordi. » Une menace de sa part ne me faisait ni chaud ni froid mais pour lui faire plaisir, j'acquiesçais d'un signe de tête. Quelques minutes plus tard et me revoici devant sa page FB, à scruter les dernières publications qui apparaissaient sur son mur. Le Dan en question n'avait même pas daigné lui répondre alors qu'il s'avérait connecté sur la messagerie instantanée. Un crétin.
Suppression immédiate. «
SPENCER !!! Je t'ai dit quoi ?! » Et merde, Marla venait de refaire irruption dans sa chambre et me mis rapidement à la porte. «
Elle est pas mal ta copine, la p'tite blonde aux yeux clairs ! Zooey c'est ça ? Faut que tu me la présentes. » «
Dans tes rêves, maintenant tu m'fous la paix ! » Me claquant la porte au nez, je m'écrasais contre la rambarde de l'escalier, ne pouvant contenir plus longtemps mon rire à mesure que j'entendais ma soeur râler. «
Et qu'est-ce que t'as fait sur FB ? ... Simon ! Pourquoi t'as supprimé SIMON ?! Et pourquoi mon ordi râme ? SPENCER T'ES TROP CON !» Ouais, j'étais le frère le plus sympa du monde.
#FIN FLASHBACK ~ «
50$ si t'arrives à choper la blonde là-bas. » Tête relevée et regard tourné en direction de la demoiselle se trouvant pile dans ma ligne de mire, je me permis un rictus avant de me pencher en direction de Jay, mon meilleur ami. «
50$ pour une fille pareille ? Je cracherai le double mon vieux. » Jay me dévisageait un instant avant de m'offrir une poignée de mains chaleureuses. «
Va pour 100. Bon courage man. » Du courage ? En avais-je vraiment besoin pour aller séduire une fille ? Il me suffisait de sourire ou bien de passer une main assurée dans mes cheveux pour qu'elles ne tombent toutes à mes pieds. Si j'en faisais trop ? Oui, c'est vrai. Je me croyais irrésistible, le Batman de la drague et pourtant, je n'étais qu'un étudiant de vingt-trois piges qui cherchait en vain à sa caser ou à se taper une fille pour la soirée. Alors bien sûr que j'arrivais à emballer des filles - et pas seulement des filles faciles - comme celle que Jay m'avait demandée d'aguicher. Ce gars-là était mon meilleur pote et c'est avec lui que j'effectuais les paris les plus tordus, les plus déjantés, les plus cons en soit. De toute mon enfance, j'avais jamais connu un gars aussi sensé que lui. Il avait vécu une enfance difficile et au lieu de plonger et de toucher le fond, il s'était réfugié dans le catéchisme, comme pour se soigner. Mais ça n'en faisait pas un enfant de coeur, loin de là même. «
Je reviens, attends moi dehors. » Ah oui, j'en avais complètement oublié la jolie blonde que j'avais réussi à approcher. Elle s'appelait Cassie - cf Cassandra - Je m'étais débrouillé pour l'aborder tout en douceur, lui parlant de mes études en journalisme, de mes passions et, suite à sa demande, je lui ai même chanté le refrain d'une chanson de Ed Sheeran - mais je crois qu'à ce moment-là, j'ai du passer pour un con - «
D'accord, je t'attendrais. » Nouveau sourire enjôleur suivi d'une tape bien placée en-dessous du coccyx ; j'allais remporter mon pari, c'était une évidence. J'avais fini par me pointer dans la ruelle jouxtant le club, non sans envoyer un message à Jay pour l'avertir qu'il devait sortir le pognon. Je patientais donc, seul et complètement gelé - puisque les températures avaient considérablement chuté durant la nuit - jusqu'à ce que la porte de derrière ne s'ouvre. Deux hommes, la trentaine bien passée, plutôt baraqués - largement plus que moi - s'engouffrèrent dans le chemin pour me faire face. L'un deux portaient un blouson en cuir à la Grease, l'autre avait le crâne rasé et des tatouages sur ses avants-bras et sur son crâne dégarni. «
Hey James, j'crois qu'on a trouvé notre gars. » «
Il nous a parlé d'un mec mal rasé, puant la clope et habiller comme un naze. Spencer, c'est bien toi ? » Immobile, je restais béas, à les fixer, l'un comme l'autre. Que me voulaient-il ? Ces molosses semblaient se charger de la sécurité mais faisaient également le nettoyage d'individus leur apparaissant comme suspects. Était-ce mon cas ? C'était fort probable. «
Je peux vous aider peut-être ? » Mon sourire était crispé tout comme mes jambes qui s'évertuaient à reculer à mesure que les deux hommes s'avançaient vers moi. «
Oh, mais faut pas avoir peur. On veut juste te faire comprendre quelque chose. » L'un des types était suffisamment proche de moi pour m'empoigner et me fracasser contre le mur. En cet instant, il m'était difficile de jouer aux gros durs ; pourtant, gardais-je tout de même cet air inquisiteur en leur direction. Je ne savais pas qu'elle était la raison de leur venue mais une petite voix me disait que j'allais très vite le savoir. «
On vient de la part de Larry, tu sais ... Le proprio du club. » Oh oui, ce bon vieux Larry .. Comment allait-il ? «
Il t'a vu fricoter avec sa fille et ça lui a pas mais alors pas du tout plu. » Je vous passe les détails de la scène suivante. La seule chose dont je me souvienne fut la menace de l'un des deux gars «
T'approches plus de Wendy ou on te retrouvera et on te fera la peau la prochaine fois. » J'avais perdu connaissance peut-être une fraction de secondes. Jay m'avait ramassé - à la petites cuillères - avant de m'emmener chez lui - et non à l'hôpital car j'avais refusé -
Résultat : arcade sourcilière + lèvre inférieure fendues et/ou ouvertes, côtes froissées, entorse au poignet gauche ... Sans parler de mes habits à moitié tachetés de sang et des 250$ qui avaient mystérieusement disparus de mon porte-feuille. Bref, j'avais pris une sacrée dérouillée par des types qui avaient certainement été payés des clopinettes pour régler mon cas. Mais le pire dans tout ça, n'était pas que j'ai eu droit à la raclée du siècle ; non, le pire dans tout ça fut que la fille dont j'avais cru percevoir la sincérité et la franchise ne m'ait même pas donné son vrai prénom ! Au final, les femmes étaient toutes les mêmes, que des biatchs en puissance.
➜ latisle.
➜ france.
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➜ actif, beau et élégant, je vous ferai part de mes remarques dès que j'aurai fait entièrement le tour
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