-21%
Le deal à ne pas rater :
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, Collection Botanique
39.59 € 49.99 €
Voir le deal

 

 Dale (+) Félicitation tu viens de toucher le fond.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Anonymous


Invité
Invité

Dale (+) Félicitation tu viens de toucher le fond.  Empty
MessageSujet: Dale (+) Félicitation tu viens de toucher le fond.    Dale (+) Félicitation tu viens de toucher le fond.  EmptyDim 7 Fév - 16:31

Dale Gallagher

Tes choix définissent qui tu es !


Nom complet ➜ Dale Gallagher Âge ➜ 28 ans Date et lieu de naissance ➜ 27 Aout 1987 à Chicago Nationalité ➜ Américain Origines ➜ Américain Situation financière ➜ Moyenne Etat civil ➜ Célibataire Préférences sexuelles ➜ Pansexuelle (Hommes & Femmes)
Activité professionnelle ➜ Professeur de boxe.

Brute de décoffrage - Franc - Essaye d'être le plus juste possible - tête de mule - Bagarreur - Fêtard - Beaucoup trop protecteur - Joueur - Râleur - Rancunier - Sait parfaitement écouter les autres - Est de bon conseil - Sportif - Méfiant - Aime jouer avec les limites - Prend les choses à coeur - Ne montre jamais ses faiblesses - N'hésite pas à se mouiller pour ses amis.


My little secrets
01 Bien loin de l’image de prof respectable et sur qui on peut compter que Dale se donne, il a été une véritable petite brute par le passé. C’était le gosse à problème du coin qui s’est fait renvoyé de pas mal d’école. Les directeurs ne s’embêtait pas à appeler ses parents c’était peine perdu. Ils se fichaient totalement de ce que leur fils faisait. Il s’est attiré beaucoup d’ennuie. 02 Dale a trois sœurs. Deux qui sont bien plus âgées que lui et une plus jeune. Il n’a jamais eu de relation avec la plus âgée de la fratrie. Ils se sont toujours plus ou moins ignorés sans raison apparente. Elle est partie à l’autre bout du monde il y a bien longtemps. Il n’est pas certain de la reconnaitre s’il la croisait dans la rue. Il est en train de reprendre contact avec la seconde. La dernière, Lullaby est sa petite merveille. Il a encaissé tous les coups pour elle et n'en a jamais parlé. 03. Dale est plus intelligent qu’il ne veut bien le faire croire. Il a eu des résultats incroyables aux tests d’entrée à l’université ce qui lui a permit d’obtenir une bourse. On a tenté de le convaincre de prendre le sport en mineur mais il a refusé. Sa passion avant tout. 04. Dale aurait pu passer professionnel en boxe étant plus jeune mais une blessure à la tête et une hospitalisation suite à une altercation des plus violentes avec son père,  l’en a privé à jamais. Ca aurait été bien trop dangereux et il ne pouvait pas prendre ce risque. Pas avec Lullaby qui compte sur lui. Il est donc devenu entraîneur et professeur pour des étudiants. 05 Son meilleur ami est décédé il y a quelques semaines dans un accident de voiture. Dale est dévasté et tente de reprendre pied comme il le peut. Il était amoureux de son meilleur ami. Il a des saute d’humeurs et a plus tendance à faire des conneries et s’attirer des ennuies. 06.Il est accro à la cigarette. C’est un ancien drogué qui a fait le choix de ne plus prendre aucune substance même si ca le démange de plus en plus souvent. Il ne boit pas. Ses parents étaient des alcooliques notoires, il refuse de suivre la même voie. 07. Dale a déjà eu des relations avec femmes mais aussi des hommes. Jamais rien de très sérieux. Il ne veut pas s’engager car il ne se sent pas capable d’assumer une relation à plein temps. Il a toujours préféré les coups d’un soir. Il a d’ailleurs une belle collection à son actif. 08. Dale n’a jamais été en prison mais il s’est déjà attiré de gros problèmes. Etant adolescent, il n’hésitait pas à dealer pour pouvoir payer les traitements de sa sœur. Il a également fait d’autres trafics en tout genre. La seule chose avec laquelle il n’a jamais triché : ses résultats de combats.  Il a quitté ce milieu vers ses 19 ans.

The story of my life
Je caressais le banc du bout des doigts avant de pencher la tête en arrière et la poser contre le mur glacé. J’hésitais à poser ma joue contre celui-ci mais ne le faisais pas. Ce serait un signe de faiblesse. Pourtant j’avais mal. Cet idiot avait un sacré crochet du gauche. J’allais avoir un bel œil au beurre noir. Encore. Je soupirais sachant pertinemment ce qui allait se passer : dans quelques minutes le proviseur allait lâcher son énorme sandwich en râlant avant d’ouvrir la porte et me prier de m’installer sur l’infâme siège en cuir. J’allais avoir un sermon : un gamin de dix ans n’était pas censé se battre à cette fréquence. Il ne prendrait pas la peine d’appeler mes parents, il savait que c’était peine perdue, et me lancerait un de ses regards remplis de pitié qu’on lance aux gosses dans mon genre. J’avais raison. Encore. En rentrant à la maison, je traînais en chemin. Exclu trois jours. Si certains enfants seraient morts de peur à l’idée de se faire disputer, si d’autres hurleraient de bonheur à quelques jours de vacances sans mesurer les conséquences de leurs actes, je restais totalement indifférent. Là encore je pouvais prévoir la suite des évènements : si mon père dormait sur le canapé, ma mère se dépêcherait de me sortir un morceau de viande du congélateur pour faire dégonfler mon œil avant de m’envoyer dans ma chambre. Dans le cas contraire, le paternel hurlerait à en perdre ses poumons, déjà qu’ils n’étaient plus vraiment en bon état à cause de la cigarette. Tout le monde allait passer une mauvaise soirée à cause de moi. J’espérais que mes sœurs soient ailleurs. Nous allions souvent dormir chez des amis, enfin plus elle que moi, mais jamais personne ne venait. Jamais personne jusqu’à cet imbécile de Caleb.

Pensait-il vraiment que je n’avais pas entendu son pas d’éléphant dans la rue déserte ? Personne ne s’aventurait ici à moins d’y vivre ou d’y être obligé. Je pensais d’abord qu’il s’agissait de mon imagination mais je finissais par me retrouver. Il était derrière moi. Il me fallut quelques secondes pour réaliser. Mais bordel qu’est-ce qu’il foutait là ? J’étais en colère, et me retenais de ne pas aller plus loin. Je n’avais aucun état d’âme d’habitude. Il était tout ce que je détestais. Le gamin qui semblait parfait. Pourtant il était là. Je riais alors qu’il bredouillait une excuse qui n’avait ni queue ni tête. Les pensées qui se mélangeaient dans mon esprit étaient plus folles les unes que les autres. Je me moquais de lui, sentant mon cœur s’accélérer et l’adrénaline monter en moi. Je lui attrapais le menton, serrant les dents. Je n’avais pas envie de lui faire quoi que ce soit, pourtant je le devais. Je n’étais pas faible. Mon père arrêtait notre cinéma, me hurlant dessus comme toujours. Je lâchais le pauvre gamin et le dévisageais. Il devait la fermer et il le ferait j’en avais la certitude. Pourtant le soir même, blotti sous mes couvertures, j’avais espéré qu’il parle. Ca n’arriva jamais.

« Putain Dale ! C’est tout ce que tu as ? » Je frappais avec ferveur le pushing ball. Mes phalanges n’allaient pas tarder à être douloureuse comme l’était déjà le reste de mon corps. Je finissais par m’effondrer et frapper avec colère contre le sol. « C’est bien. Va te changer. Mets de la glace en partant. » Je relevais la tête et obéissais. J’étais doué pour ça. Beaucoup de choses avaient changé dans ma vie. La mort de mon père avait été une délivrance, un nouveau tournant. J’avais arrêté de cogner les gens sans raison, maintenant je le faisais à la boxe avec un type qui me hurlait de frapper plus fort et de ne pas baisser ma garde. Avec un type qui croyait en moi. Je filais sous la douche et sortais rapidement. « Je vais vraiment croire que tu me suis. » Ma relation avec  Ethan  aussi avait changé. Nous étions « amis » maintenant. Ou du moins ce qui s’en rapprochait le plus dans ma vie. Sans le laisser répondre, je sortais une lettre de ma poche et lui balançais. « Tu connais pas la meilleure… Je vais à l’université… Pfff n’importe quoi ! » Je levais les yeux au ciel avant de rire ironiquement. J’avais obtenu une bourse pour mes prouesses en sport, de quoi me payer mes études à l’université de Chicago. Moi à l’université ? Qu’est ce qu’ils avaient fumé ? Je n’avais pas des notes excellentes, parce que je ne bossais pas vraiment pour tout vous dire, et j’avais la réputation de traîner avec les mauvaises personnes. Ce qui n’était pas faux. Ce n’était pas par plaisir. J’avais trouvé comment me débrouiller par moi-même et aider ma famille. Bref, je n’avais rien à y faire.

J’attrapais la mâchoire du gosse et me retenais de ne pas l’éclater contre le mur. Je n’étais pas la pour ça. Oui maintenant j’étais professeur et j’étais allé à l’université. Je donnais à des gamins le courage et la force de s’en sortir dans la vie, je leur donnais la chance que je n’avais pas eue. J’aimais ça. Bien que la raison que je donnais le plus souvent fût l’argent qui apparaissait par miracle sur mon compte chaque mois. Si vous aviez vu ma fiche de paie : vous vous seriez mis à rire. « Tu veux faire le malin ? Ca t’amuse d’écraser les autres ? Ok. Montons sur le ring. Voyons ce dont tu es capable. Écrase-moi. » Il n’allait jamais oser. Je n’y allais jamais de la manière douce. Je me reconnaissais trop dans ces gamins. Pourtant j’étais toujours juste. Il s’excusait, je le faisais répéter bien fort avant de lui faire la leçon. Quand je faisais ça j’avais l’impression d’être l’énorme proviseur quand j’étais pas plus haut que trois pommes. « Allez rentre chez toi. Pense à ce que je t’ai dit. Je te vois demain. » Il n’y aurait pas de représailles jamais. Je n’étais pas un type… Bien. Mais je pouvais faire ne sorte que eux ils s’en sortent sans jouer à des jeux débiles et dangereux. Je fermais la porte derrière moi et sortais une cigarette. Comme toujours Ethan était dans le coin.

Mon cœur faisait un bond énorme dans ma poitrine. C’était toujours le cas lorsque le numéro de l’hôpital s’affichait sur mon portable. Avec la maladie de Lullaby, je m’attendais toujours au pire. J’étais déjà dans la voiture alors que je répondais. Mon cœur s’arrêtait littéralement cette fois. Ethan avait eu un accident. On ne voulait pas m’en dire plus. Je démarrais et fonçais comme un malade, prenant des risques inconsidérés. J’arrivais trop tard. Il n’avait pas survécu à ses blessures. Mon monde s’effondrait. Je n’avais jamais eu autant confiance en quelqu’un, je ne m’étais jamais livré avec autant de ferveur… J’allais devoir me reconstruire. Repartir sur un monde où il n’est plus.



Pseudo ➜ Wolfy Âge ➜ 22 ans Pays ➜ France Fréquence de connexion ➜ 5/7 Découverte du forum ➜ Euh je ne sais même plus  Dale (+) Félicitation tu viens de toucher le fond.  3860571308  Avis ➜ Il est toujours aussi merveilleux Autres ➜ Je vous aime I love you
Sebastian Stan - Personnage Inventé
Revenir en haut Aller en bas
 
Dale (+) Félicitation tu viens de toucher le fond.
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Dale - Félicitation tu viens de toucher le fond. [scénario de Caleb]
» Bora H. Park ♚ Chérie, tes cuisses sont comme tes neurones : personne ne sait quand elles vont se toucher.
» Parce qu'au fond une étoile, ça finit toujours par mourir.
» Lullaby ▽ You were born to be real. Not to be perfect. (scénario de Dale)
» LULLABY ⚔ Je vole telle une petite libellule trop mignonne (Scénario de Dale)

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
YUCK IT UP :: LES ARCHIVES :: Les archives :: Les fiches périmées-
Sauter vers: