Crystal ReedNé(e) le 15 novembre 1993 à Chicago, j'ai 22 ans et suis de nationalité américaine. Si vous voulez en savoir un peu plus sur moi, sachez que je suis plutôt modeste et que je le vis bien ! Actuellement célibataire, je tiens à préciser que je suis plutôt du genre hétéro... Désolé(e) d'avance pour les cœurs brisés. Diplôme préparé : bachelorCycle & année d'étude : 1ème année en journalismeCursus majeur : journalismeSpécialisation : //Cursus mineur : économie | |
Personnalité & addictions
Drôle - 60% Réfléchi(e) - 80% Créatif(ve) - 40% Travailleur(euse) - 60% Fêtard(e) - 75% Narcissique - 50% | Artiste - 30% Amical(e) - 80% Jaloux(se) - 20% Méfiant(e) - 30% Sportif(ve) - 40% Prude - 60% | Généreux(se) - 90% Têtu(e) - 65% Hautain(e) - 40% Séducteur(trice) - 95% Honnête - 60% Joueur(euse) - 85% |
Alcool : 60% | Drogues : 10% | Sexe : 10% |
Renseignements multiples
Pourquoi avez-vous choisi d'étudier à l'université de Chicago ? Parce que c'est mon rêve depuis toute petite. Mes parents ont été à l'université de Chicago, j'en entends parlé depuis mon plus jeune âge et j'ai envie que ce rêve se réalise car c'est une université très réputée et j'en serais fière d'en faire partie.
Quelles sont vos sources de financement universitaire ? J'ai réussi à avoir une bourse, car nous ne roulons pas sur l'or à la maison.
Que pensez-vous du système de confrérie ? Cela ne m'intéresse pas du tout. Le bizutage, les soirées, les coups montés, oh non, je n'aime pas ça. Les études c'est plus important.
D'ailleurs, faites-vous partie d'une confrérie ? Si oui, depuis combien de temps ? Non, je n'en fais pas partie et je n'ai jamais voulu y participer. Je trouve cela pas très intéressant. Cela exclu plus que cela n'intègre des étudiants. Après, ce n'est que mon avis personnel. Je n'aime pas appartenir à une groupe, je suis mieux toute seule.
Biographie
Mon histoire? C'est vraiment un truc que je dois raconter? Car je suis pas très à l'aise avec ça... Bon ok, je me lance alors. Je m'appelle Norah et à vrai dire j'en ai toujours croisé qu'une dans ma vie. Moi. Je suis né à Chicago. J'étais bien entouré, je vivais bien et je sais pas trop ce que je peux rajouter de plus. J'étais vraiment heureuse. Vous savez, je suis pas une gamine de merde difficile qui fait tourner ses parents en bourrique. Non, j'ai toujours été assez mature pour mon âge. La seule richesse que j'avais dans ma famille, c'était l'amour de mes parents. Je suis fille unique, même si j'aurais quand même voulu être une grande soeur pour pouvoir tout apprendre à mon cadet. J'étais plutôt doué à l'école. J'ai fais pas mal de choses pendant ma jeunesse. Du vélo, du skate, de la danse, du scoutisme, brefi. A cette époque de ma vie, les garçons ne m'intéressaient pas trop. La majorité de mes potes se prenaient la tête à cause des meufs. On est jeunes, on a à peine quinze ans, quelle utilité de vouloir trouvé l'homme de sa vie maintenant? Moi j'étais toujours vierge et j'en avais rien à faire. Dès que j'eus l'âge pour avoir la permission de 22h de mes parents, je profitais à chaque fois de mes sorties. Cinéma, parc d'attraction, anniversaire chez l'un et chez l'autre, ça n'en finissait pas. Norah était toujours de la partie et comme disait la plupart de mes potes: No Norah, no party. J'ai toujours été l'amie qui donnait le smile quand ses potes avaient besoin de réconfort. Mais j'ai jamais rien demandé en échange. J'ai eu une très bonne éducation et j'en suis fière. Je ne me plaignais jamais, j'étais celle qui embellissait la journée des autres, un petit distributeur de sourire. Je pense avoir d'assez bonnes qualités pour entrer à l'Université. Je veux devenir une grande journaliste, soyons fous. C'était un peu comme un rêve. Bouger de la maison et commencer sa seconde vie avec de nouveaux amis.
Seulement, pendant un instant, je regrettais d'avoir dit de ne jamais avoir besoin de mes potes. Je suis tombé amoureuse et j'ai perdu l'amour de ma vie. Il s'appelait Lucas, il était français et il était tout ce que je pensais ne jamais avoir. Cela a commencé par des petits regards, puis une forme d'amitié. On a pris du temps avant de franchir l'étape. J'avais dix-huit ans et je venais de faire mon entrée à l'Université. Mais ce mec, wow, il m'avait changée, il avait réussi à touché mon cœur. J'avais stoppé les conneries rien que pour lui. Pas de drogue pour Lucas. Son amour était déjà ma drogue. Moi qui me moquais de mes amis parce qu'ils se battaient pour des mecs, maintenant je pouvais les comprendre. Je ne pensais plus ce que je disais bien avant: J'ai pas besoin d'un homme pour être heureuse. Eh bien, si car sans Lucas, ma vie serait un vrai cauchemar. Il m'a appris les plus belles choses de la vie et je lui en suis très reconnaissante. Mon copain passait plus de temps à bosser qu'autre chose, voulant devenir le plus grand médecin sans frontière de tous les temps! Ensemble, nous allons faire de grandes choses! Il avait le coeur sur la main et c'est ça ce que je préférais chez elle.
Trois ans, je suis restée trois ans avec lui. Alors que j'étais partie voir la compétition au centre équestre du coin, encourager mon copain pour le concours, une ambulance était en train de monopoliser le parking. Je ne comprenais pas ce qu'il se passait. Mais sans savoir pourquoi, je sentais que Lucas avait un problème. J'ai avancé lentement vers l'ambulance et là, la maman de mon amoureux m'a prise dans ses bras. Elle m'a serré de toutes ses forces en me répétant sans cesse que je devais être courageuse. C'était la première fois que je pleurais depuis des années. Sans vraiment l'expliquer, le cheval de Lucas a eu une frayeur et a donné un coup de sabot violant sur sa poitrine. Il a perdu connaissance, me laissant comme seule partie de lui, un corps inerte sur un lit d’hôpital. Je pensais vraiment qu'il allait s'en sortir. C'était l'homme le plus fort que je connaisse. Il aurait du monter sur son cheval et gagner ce concours. On aurait ensuite fêté ça avec du champagne et qui sait, je l'aurais peut être invité au restaurant, puis on aurait passé la nuit ensemble. Mais non, je restais assise sur cette chaise, à le regarder, le visage pâle, je ne voulais jamais lâcher sa main. Lucas est mort trois jours après. Perde quelqu'un qu'on aime, c'est sans doute le pire des chagrins d'amour. J'avais envie d'étrangler ceux qui pleuraient car leur mec avait décidé de rompre. Moi j'ai perdu mon amoureux. Rapidement, je me renfermais dans ma bulle, ne voulant plus adresser la parole à quiconque. Mes parents étaient inquiets et ils m'ont envoyé de force chez un psychologue. Au début, je faisais ma rebelle, je n'y allais pas ou je passais mon heure de consultation à fixer le psychologue sans dire un mot. Je jouais avec les nerfs de tout le monde en somme. J'étais juste pas prête à faire mon deuil. Six mois plus tard, j'avais repris un peu des couleurs et de joie de vivre. Plusieurs mecs ont essayé de me séduire, mais je n'arrive juste plus à me laisser aller. Je peux m'amuser, boire, fumer de temps en temps, faire la fête et rire aux éclats, mais pour ce qui est du sujet du sexe, c'était le néant depuis Lucas. Pourtant, j'aimerais bien retrouver du plaisir charnel, mais je n'y avais pas le coeur. Pour moi ce serait trahir mon seul amour. Je souffre donc je fais souffrir les autres. Au fil des semaines, j'ai appris à surmonter sa mort, je pense encore à lui mais je sais en parler sans pleurer et me mettre en colère. Ce sujet reste quand même tabou, mais je fais des efforts. Peu de personnes connaissent mon passé, ce que j'ai vécu. Tout le monde pense que je suis la petite fofolle qui sort tout le temps, personne n'imagine la douleur que je cache au plus profond de moi. Peut être qu'un jour, je trouverais quelqu'un qui rallume la flamme de mon coeur mais pour le moment, j'essaye de m'y remettre dans mes études.
| Moi c'est RED CUP !J'ai 20 ans, je suis une fille et je vis en Belgique. J'ai découvert le forum grâce à un partenariat et je le trouve superbe ! Sinon, je serai connecté(e) tous les jours et je devrai pourvoir RP environ 5 fois par semaine. |