Pourquoi avez-vous choisi d'étudier à l'université de Chicago ? Parce que l'université de Chicago était faite pour moi. Je ne me voyais pas aller étudier ailleurs. Nous avons la chance d'avoir une énorme université dans cette ville, qui propose de nombreuses perspectives et études, alors pourquoi aller chercher plus loin ? J'habite à Chicago, je n'irais pas chercher une université à Miami. Ce serait débile.
Quelles sont vos sources de financement universitaire ? Papa et Maman, mais surtout Papa. Parce que c'est lui qui est à la tête de l'entreprise familiale, celle qui nous a rendues riche comme crésus. Maman est juste une très bonne businesswoman et qui sait comment gérer notre image. Dès que j'ai voulu m'inscrire à l'université, ils m'ont donné carte blanche niveau argent. Ils préfèrent que je prenne de l'argent pour mes études plutôt que j'en prenne pour des choses futiles.
Que pensez-vous du système de confrérie ? Je pense que le système de confrérie est une très bonne chose. Cela permet de rassembler des personnes qui ont les mêmes centres d'intérêt, qui ont les mêmes passions, qui pensent de la même façon. Certains étudiants ont tendance à trop se concentrer sur leurs études et finissent par n'en pouvoir plus. Alors, je pense que les confréries permettent à tout le monde de souffler un coup, de se changer les idées. A part pour les Zetas bien sûr.
D'ailleurs, faites-vous partie d'une confrérie ? Si oui, depuis combien de temps ? Tu me demandes vraiment quelle confrérie j'ai choisi ? À ton avis ? J'ai choisi les Phi Delta Theta, c'est logique. Franchement, entre nous, tu me vois ailleurs ? Je veux dire, je suis plein aux as, tellement que je pourrais me baigner dans une piscine de billets. Tu me jalouses, comme tous les petits étudiants qui doivent trimer au travail pour espérer rester à l'université. Moi, je suis né avec une cuillère en argent, j'ai toujours eu ce que je voulais dans la vie, parce que je le mérite. Je suis au-dessus des autres, je méprise ceux qui n'ont pas d'argent. Entre nous, je ne vois pas comment ils arrivent à vivre sans argent. Si je suis à l'université, c'est pour avoir mon diplôme, c'est pour briller. Je veux récupérer l'entreprise de mon père. Sur le campus, tout le monde me connaît. À Chicago, tout le monde connaît ma famille. Personne ne peut prétendre que mon nom leur est inconnu, car je ne les croirais pas. Mon bizutage ? Cela s'est passé il y a 6 ans maintenant, ça fait un sacré bout de temps. D'ailleurs, c'est sûrement la chose que j'ai le plus détestée dans la confrérie, c'est le fait que je sois obligé de me soumettre aux désirs des autres membres. Je ne me soumets jamais habituellement, mais si je voulais y entrer, je n'avais pas le choix. Le pire bizutage que j'ai eu, a été la fois où j'ai dû m'habiller en clochard et passer deux dans la rue à faire la manche, me débrouiller pour manger et boire, dormir. Je puais, ils m'avaient pris mon argent et j'avais interdiction d'aller chez mes amis ou mes parents. C'était horrible, dès que j'ai passé cette épreuve, je suis allé me doucher. J'ai pris au moins 5 douches dans la journée et j'ai dépense 3 000$ dans la journée. Et oui, il fallait bien que je me rattrape ! Maintenant, je suis bien dans ma confrérie. On s'entend très bien, car on se comprend, même si je suis supérieur à eux, j'aime bien passer du temps avec eux. Il faut dire que j'ai jamais été très sociable et il n'a pas été facile pour moi pendant ses six ans aux côtés des autres membres de la confrérie, de m'adapter.fait Je m'entends bien avec eux, mais à petit terme. Je ne peux rester trop longtemps avec eux. Je les adore, mais étant très solitaire, je préfère être seul. Cela, ils le comprennent et l'acceptent. C'est ce que j'ai aimé chez eux, ils ne te rejettent pas, mais essayent de te comprendre et de s'adapter à toi.
C'est ici qu'il vous faut nous raconter votre histoire (tout en pensant à y raconter vos premières années à l'université/dans votre confrérie si vous n'êtes pas un petit nouveau, ceci devant être fait une fois que le Doyen ou le président aura validé votre admission dans une confrérie). Un minimum de 30 lignes est demandé ; soignez votre écrit, relisez-vous, soyez réalistes et tout ira bien !