| Sujet: (délai jusqu'au 16.08) LEO ▽ Garde la tête haute. Et ton majeur encore plus haut. Lun 3 Aoû - 18:45 | |
| Leonie, mais Leo c’est bien mieux Silaïev Pyper America SmithNé(e) le 12 juin 1997 à San Francisco dans le quartier de mission district (Etats-Unis), j'ai 18 ans et suis de nationalitée américaine (avec des origines russe, yep tout à fait). Si vous voulez en savoir un peu plus sur moi, sachez que je suis plutôt pauvre et riche à la fois et que je le vis relativement bien, vu que je m’en fou en fait ! Actuellement mariée à mon Kavalan et célibatarde des mecs, je tiens à préciser que je suis plutôt du genre hétérosexuelle... Désolée d'avance pour les cœurs brisés. Diplôme préparé : bachelor Cycle & année d'étude : Première année (undergraduate)Cursus majeur : Les sciences politiquesSpécialisation : relations internationalesCursus mineur : Histoire | |
Personnalité & addictions Drôle - 69% Réfléchi(e) - 41% Créatif(ve) - 12% Travailleur(euse) - 66% Fêtard(e) - 72% Narcissique - 27% | Artiste - 13% Amical(e) - 54% Jaloux(se) - 50% Méfiant(e) - 86% Sportif(ve) - 97% Prude - 09% | Généreux(se) - 34% Têtu(e) - 68% Hautain(e) - 20% Séducteur(trice) - 50% Honnête - 27% Joueur(euse) - 75% |
Alcool : 90% | Drogues : 45% | Sexe : 61% |
Renseignements multiples Pourquoi avez-vous choisi d'étudier à l'université de Chicago ? Pourquoi ? Je ne pense pas avoir la lettre de motivation la plus cool et motivante au monde. J'espère que mon intégrité bien cachée me sauvera et que par conséquent ma candidature sera acceptée. Je vis avec des personnes formidables, qui m'ont aidé à m'en sortir, enfin en quelque sorte et me portent dans la voie de la guérison. Cette adorable famille m'a recueilli, alors je n'avais pas envie de les quitter. Oui, oui j'adore le réveil au petit matin, avec les croissants, leur bienveillance, tout le petit tralala et quotidien d'une famille banale. Alors, oui pour moi, Chicago est la ville où je me sens bien et là où, j'ai des perspectives décemment plus nobles et correctes que dans d'autres villes, là où le tourment et les mauvaises actions sont reines quand on n'est pas entouré. Quelles sont vos sources de financement universitaire ? On va dire que mes perspectives d'avenir n'étaient pas bien glorieuses, enfin avant. Un père alcoolique, une mère qui trimait trop pour pouvoir mettre quelque chose dans nos assiettes. Je ne pensais même pas atteindre le lycée et surtout en être diplômée. Alors, mettre de l'argent de côté comme tout être normal je ne le connaissais pas et ma maman non plus. Mais, bon, je suis ici, à vous parler de mes finances alors, c'est que j'ai réussi, là où je ne pensais même pas mettre les pieds. Bref, je suis pauvre, sans y être et riche sans y être non plus, la catastrophe cette fille. J'ai deux anges gardiens, monsieur et madame Reynolds. Ils veillent au grain à ma scolarité, donc ils ont banqué, pour mon frère et moi, mais, on compte bien les rembourser, quand nos situations nous le permettrons. Que pensez-vous du système de confrérie ? Les confréries, je m'en bats les steack, haha ma blagoune était top non ? Ok ça n'a pas fait rire, mon humour est trop personnel, seul mon frère sait y rire. Bref ! Je trouve ça cool, enfin comment dire. Vous savez, il y a certaine personne plus extravertie que d'autres, qui ont le contact humain beaucoup plus facile. Je pense que cela rapproche les gens, même si on les sépare dans certains cas en les catégorisant mais bon, il faut de tout pour faire un monde. Mais cela aide les petits nouveaux (comme moi, haha), ça motive pour les cours (ouais c'est nul, je sais). Alors, je suis une pro-confrérie et je le clame au et fort. D'ailleurs, faites-vous partie d'une confrérie ? Si oui, depuis combien de temps ? Je suis un bébé étudiant. Je vais avoir le droit à un nouveau petit surnom, vous savez le petit bizut. C'est moi. Plus sérieusement. Bien sûr que j'ai envie de rentrer dans une confrérie. J'ai cette envie, folle je vous l'accorde, de me faire poudrer comme une pâte à pizza. Je trouve ça cool. Et je pense que les KAPPA ALPHA PSI seraient les meilleurs pour ça. On ne me tarit que d'éloge sur leur fonctionnement. Comme quoi ils sont quelque peu barrés dans leur tête, pas dans la norme et c'est franchement génial. J'aime m'éclater et emmerder mon monde. Comment peut-on vouloir rentrer dans une autre confrérie que celle la ? Parler maquillage, de mecs, ouais c'est bien, mais casser la baraque, bon ok, pas littéralement, quoique, ça peut être drôle, c'est tellement plus jouissif que voilà. Je ne dis pas que je suis la fille parfaite dans le rôle d'une KAPPA ALPHA PSI mais, j'ai connu tellement de situations différentes que je peux m'adapter à tous types de situations et les personnes qui m'entourent. Juste, une chose vive le bordel et les gens loufoques.. Biographie Une maison, des parents qui triment, ah non, une mère qui se démenaient pour pouvoir nourrir ses enfants, un père absent qui occupait un seul poste, le pilier de bar à dépenser les petites et maigres économies qu'avait pu faire cette maman attentionnée et fatiguée. Je vous parle bien là de ma vie, à quoi bon vous raconter tout en détail. Depuis ma naissance, il n'y a rien de bien glorieux. Plutôt un gouffre, tel le méchant dans tous ses films de super-héros, qui essaie de faire, mais n'y arrive jamais, car ses chances sont détruites à l'avance. Vous me direz, mais faire preuve d'un tel pessimisme à son jeune âge c'est, désolant. Le seul et unique rayon de soleil de ma vie c'est bien lui, Logann, mon frère, d'une jumelée à toute épreuve. Comme ci ma mère ne travaillait pas assez dure. Elle a dû mettre au monde non pas un, mais deux bambins, deux magnifiques bébés je vous l'accorde, d'un blond profond et pur. Tout au long de ces années, je vivais une existence plutôt tranquille, même si celle-ci n’était pas extra, on la menait comme ça. Une obligation de la vie. San Francisco National Cemetery, le 17 décembre 2011 – descente aux enfers. Pourquoi fait-il soleil ? Pourquoi le ciel est-il si bleu ? Pourquoi les nuages n'apparaissent pas ? C'est un mauvais jour, dans les films, lors de cette occasion, il pleut toujours à torrent, là non. On ne peut ni cacher notre tristesse derrière un parapluie, ni sourire à ce magnifique paysage qui s'offre à nous. Il faisait si chaud, l'habit noir de circonstance absorbait la chaleur étouffante, bien trop estivale pour un mois de décembre. On aurait dit que le ciel récompensait ma mère, comme s'il lui laissait le chemin dégagé pour atteindre les portes du paradis en quoi elle croyait tant. Je ne voulais pas de ça. Ma famille n'avait plus lieu d'être sans elle. Qu'allait-on devenir mon frère et moi ? Mon père n'arrivait déjà pas à allez au toilette seul, alors élever des gosses. Je le regardais, seulement là, affalé sur son siège, soûl et cadavérique. Il n'avait même pas pris la peine de parapher quelques lignes pour l'éloge funèbre de ma mère. Je ne sais même pas s'il se rend compte du moment présent, s'il sait que, sa femme est décédée et que ses enfants sont apeurés et déprimés. Même des personnes qui ne connaissaient que très peu ma mère, démontraient beaucoup plus de respect et de sympathie que ce chien, ignare de tout. On m’avait accordé le mot de la fin, avant de la voir se glisser lentement et péniblement à l’intérieur de ce trou noir. « Quand tu es heureux, regarde au plus profond de toi. Tu verras que seul ce qui t’apporte de la peine, t’apporte aussi de la joie. Quand tu es triste, regarde à nouveau dans ton cœur, et tu verras que tu pleures ce qui te rendait heureux. » Une jolie citation de Kahlil Gibran. Et la voilà physiquement disparu à tout jamais dans un dernier lieu, là où elle reposera enfin en paix. Les rues de Mission District, peu de temps après – la dépression pré-emmerde. La pluie claquait sur mes joues et il se profilait à l'horizon, un orage violent. Les éclairs d'un blanc précieux allumaient, comme un interrupteur, le ciel dévasté, déchiré comme la pompe qui faisait fonctionner mon corps. La perturbation atmosphérique pointait le bout de son nez, mais, rien y faisait, je restais là, impassible devant la scène de déluge. La pluie ruisselait sur ma peau. Mon jean, mon pull en laine, mon chignon, ils ne ressemblaient plus à la description originale. Un temps à attraper une pneumonie, mais rien, mes pieds ne daignent pas courir. Je revivais sans cesse l’enterrement, dans ma tête, dans mes rêves et dans mes pires cauchemars. Ce souvenir, pour ainsi dire, s'estompait suite à l'éclat soudain, d'une vive lueur, un peu plus haut sur le boulevard. Mes pieds décollaient du sol. Mes foulés se faisaient de plus en plus longues et intenses. J’éclaboussais chaque passant, sitôt que mes pattes éclataient à la surface d'une mare d'eau. Je ne contrôlais pas mes faits et gestes et peu importe, ces individus je ne les croiserais sûrement plus. Mes larmes coulaient et se fondaient dans la masse, de gouttes de pluie, qui arrosaient mon visage. Les rues de Mission District, pendant deux ans – les troubles de la jeunesse. Alcoolisme, de la drogue, mais peu, des soirées à zoner dans les rues mal famé de San Francisco, des amis nettement plus vieux, irresponsables et in-fréquentables. Une routine qui m'a valu beaucoup d'ennuies, mais tellement de bonnes ondes qui me laissaient l'esprit fracassé et qui m'aidaient à entrevoir une lueur immensément petite mais, belle. Une sensation d'équilibre retrouvé comme si, ce monde et moi ne faisions qu'un. J'ai mal tourné, mon frère aussi et mon père ben il n'a pas changé. Pauvre famille d'ivrogne que l'on est. Je me souviens de cette après-midi. Une fin d'après-midi, une voiture immatriculée et façonnée bien différemment d'une voiture classique. Lumières clignotantes, bleues et rouges, au sommet du tas de ferraille, illuminaient les colonnes et la façade blanches, d'une maison, ma maison que je regardais bien sagement assise au derrière de ce véhicule. Menottée et accompagnée de deux personnes à l'horrible uniforme, j'étais là, visage fermé et peu fier. Nous faisions face à une porte rouge, ouverte. Dans entrebâillement, un homme délabré, mon cher papa. « Vous me gardez cette pourriture, elle n'est pas la bi-bi-bienvenue ici. Je ne sais mê-mê-même pas qui est cette personne et dégager ça, de mon terrain. » Comment pouvais-je faire face à ça. Salle d’interrogatoire n°06, le 15 mars 2013 – le jour du changement radical. Une salle merdique, blanche, une odeur purulente, le plafond moisi et ce flic devant moi, une barbe de trois jours et de mauvaise humeur pour couronner le tout. « Bon, il suffit maintenant, avouée mademoiselle, il n'y aura aucune trace dans votre casier judiciaire, c'est aussi simple que de dire bonjour à votre voisin le matin. » J'esquissais un petit sourire moqueur, oui, je le défiais, à quoi bon, j'adore jouer et là était la bonne occasion. « Dommage pour vous, mes voisins vivent dans un monde autre que le mien. Oui, une légère divergence d'opinions, vous voyez. Alors, la courtoisie entre nous n'est que paradigme. » Le fracas de la chaise résonnait dans cette petite pièce, j'avais réussi à le mettre en rogne, c'est stupide, mais, le jeu, l'adrénaline sont des choses qui m'excitent et ajoutent du piquant à ma petite vie bien merdique. Cet homme s'indignait devant mon impertinence. Et c'était drôle ! « Les jumeaux Silaïev sont un tel calvaire, emmené les moi, tous les deux au trou pour la nuit, lui non plus, ne lâchera rien. » - « Inutile ! » Regard d'étonnement et de stupéfaction, devant cet homme qui était entré comme une flèche dans la salle, cette salle sans grand intérêt pour moi. « Maitre Reynolds, je me charge de la défense des enfants Silaïev. » Centre ville de Chicago, le 16 août 2015 - un an et demi d'écoulé. J’étais seule, allongée sur mon lit, la tête coincée entre mon matelas recouvert d'un drap prune et de mon oreiller qui ne m'avait jamais quitté. Une nouvelle chambre pour une nouvelle vie, tel était le slogan qui trônait dans ma tête bien embrumée. Bien loin de mes anciennes occupations, je me remémorais cette action. Une seule et unique partie de ma vie, qui en dix minutes, venait de bouleverser mon train de vie habituelle. La chance. Un mot qui n'était pas sorti de ma bouche depuis un long moment. Les petits hommes verts d'Irlande ont dû nous laisser un peu de poudre magique. Ouais, notre vie, à l'heure actuelle, est tout simplement magique, féerique, enfin même l'énonciation du mot bonheur n'est pas assez fort pour vous décrire ce que l'on vit à cet instant et depuis un an et demi. Ce monsieur qui est entré avec une telle classe dans cette salle d'interrogatoire miteuse. Oui lui, Maitre Reynolds. On vit chez lui désormais. Sa femme et lui nous ont recueilli à Chicago. | Moi c'est .Polichinelle !J'ai 21 ans (et oui j’suis grande, la blague), je suis une fille qui aimerait devenir un bébé ours et je vis en France. J'ai découvert le forum sur bazzart héhé et je le trouve votre avis ! Sinon, je serai connecté(e) chaque jour, enfin selon mon état et je devrai pourvoir RP environ 2/3 fois par semaine. |
Dernière édition par Leonie "leo" Silaïev le Mar 18 Aoû - 18:13, édité 9 fois |
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