C'est pɑs l'enfer ni le pɑrɑdis, c'est un mixe que nous ɑppelons lɑ vie.
Nom complet ➜ Raphaël Maximilien Brax
Âge ➜ 24 ans
Date et lieu de naissance ➜ 3 octobre à Chicago
Nationalité ➜ Américaine
Origines ➜ Américaine
Situation financière ➜ Riche
État civil ➜ Célibataire
Préférences sexuelles ➜ Hétérosexuelle
Cycle et année d'étude ➜ Graduate, 3ème année.
Diplôme préparé ➜ Doctorat
Cursus majeur ➜ Management ( Spécialisation sciences et gestions )
Cursus mineur ➜ Finance.
Artiste, passionné de musique. Attentif et bienveillant, à ceux qui ont une place particulière dans sa vie. Colérique, impulsif et violent, nerveux, il réagit au quart de tour, sans vraiment réfléchir. Après avoir pris de la distance, il peut s’en vouloir mais ne sera pas du genre à venir s’excuser, juste à se faire tout petit. Curieux, il a dû mal à rester en dehors des affaires et fera tout pour faire cracher le morceau quand il sent que quelqu’un lui cache quelque chose. Débauché et grand fêtard, il part du principe qu’il faut profiter de la vie tant qu’il est encore temps. Désordonné, il n’est pas manique du tout et est même bordélique. Son appartement est un vrai champ de bataille mais il dit que tant que lui s’y retrouve, c’est le principal. Digne, il a beaucoup de fierté et n’est pas du genre à s’écraser. Il est direct et franc, il ne va pas par quatre chemins. Distrait, il a dû mal à mener ses projets jusqu’au bout et à tendance à abandonner à la moindre distraction. Il est cependant doux, même si c’est un côté de sa personnalité qui est rare, mais quand il s’investit dans ses sentiments, il peut être un vraie crème. Il peut paraître froid au premier abord. Il est impatient et veut toujours tout, tout de suite. Défaut d’un enfant de gosse de riche capricieux. Incertain, il a souvent du mal à prendre une décision, que ça soit de ses sentiments ou bien le choix de son hamburger pour dîner. Indépendant, il n’aime pas se sentir enchaîné à quelqu’un, il aime se sentir libre. Jaloux et possessif, surtout en amour, l’amour peut le rendre complétement fou. Loyal et fidèle, quand Raphaël considère une personne comme proche, il ne fait pas les choses à moitié. Il s’investit. Il est protecteur, même un peu de trop des fois. Solitaire, il a besoin de rester seul à certain moment de la journée, il n’aime pas rester trop longtemps en groupe. Susceptible, il a tendance à prendre les choses aux premiers degrés. Têtu, quand il a une idée dans la tête, il ne l’a pas autre part.
My university life
Confrérie ➜
SIGMA CHI.
Années d'ancienneté ➜ 3 ans
Les confréries, c'est la vie. Sérieusement comment c'est possible de se pointer dans une université sans faire partie d'une confrérie ? Un peu comme dans les films quoi, sexe, alcool, drgue, déchéance. Soirée, aller se coucher une heure avant de reprendre les cours avec la gueule de bois et ... Non mais c'était obligé que j'en intégre une. D'ailleurs je n'ai pas perdu mon temps, j'ai attendu quelques jours quand même avant de me pointer dans la confrérie qui me tentait le plus ( Ouais, j'ai fais un peu le détective privé par ici par là, j'voulais la meilleur ). Et du coup je me suis pointé et rien qu'en me voyant, ils se sont dit qu'ils pouvaient pas laisser passer une chance pareille et hop, ... Non, je déconne. Il y a eu le bizut bien sûr, le truc qui fait un peu peur finalement mais où il faut montrer qu'on a des couilles et qu'on est pas une poule mouillée. Du coup je me suis retrouvé accroché à un poteau une fois, à poil, un matin, alors que la sonnerie à retentit et que tous les étudiants ont débarqué dans la cour. Heureusement, je n'ai pas à avoir honte de mon corps ... J'ai dû avaler un poisson rouge aussi, bon, j'ai pas croqué disons que c'était un peu comme quand on avale une huitre, gluant et visqueux.
Mais mainetnant ça fait trois ans que je me trouve dans cette conférie et je peux dire que je me sens bien intégré. C'est une bande de pote, que des mecs, pas de meuf. Tous soudés, dans l'entraide, l'amour et la joie. Ca fait un peu cucul la praline mais c'est comme ça, nous aussi les mecs, on est sensibles.
My little secrets01. Il est passionné de musique, plus précisement de guitar. Il a prit ses premiers cours à l'âge de 8 ans.
02. Il est serveur dans un café, dans le centre
03. Il vend toujours de la drogue et généralement ses clients deviennent ses amis.
04. Il a tendance à collectionner les femmes, bien que ce n'est pas un trait qu'il apprécie chez lui.
05. C'est un grand dormeur, il est content quand il a la possibilité de dormir plus de 12heures d'affilées
06. Il aime les cigarettes mentholées
07. Il est allergique aux cacahuètes
08. Il est ambidextre. Son père à toujours fait en sorte qu'il puisse écrire des deux mains.
The story of my life
Tu m’aimes ? « A la folie. »
Mes lèvres viennent se déposer sur les siennes alors que ma main prend place dans le creux de ses reins. On est jeune, on a 15 ans, mais pour nous, notre histoire, c’est une évidence. On s’est rencontré entre deux cours, à l’école, rien de bien originale et pourtant on s’est plu tout de suite. Je ne suis pourtant pas du genre à me livrer facilement et encore moins à tomber amoureux mais avec elle, c’est différent. Je suis un peu le genre BadBoy dans mon genre, en gros je ressemble à une grande partie des garçons de mon âge. Mais elle fait ressortir le meilleur de moi, elle m’apaise, elle est mon pilier, mon équilibre. C’est l’amour-fou, des disputes, des hauts, des bas. Elle sait autant que moi qu’on débute une dispute consciemment juste pour dire de mieux se retrouver par la suite. Je lui ai juste demandé que tout ça reste secret, entre nous. Je n’ai pas envie de m’afficher au lycée en tant que gros loveur, j’ai une réputation à entretenir et je n’ai pas envie qu’on me prenne pour quelqu’un de fragile. Car quand je suis à ses côtés, c’est ce que j’ai l’impression d’être. Mis à nu. Simplement moi, pas besoin de jouer la comédie. On est jeune et insouciant, on ne parle pas de l’avenir, pas encore. On vit l’instant présent, on célèbre notre amour chaque jours et ça nous suffit, pour le moment. Mais à chaque fois que mes yeux se posent sur elle, je ressens cet élan d’amour qui me permet de me sentir vivant de l’intérieur, un sentiment que j’ai longtemps oublié. Je pourrais passer des heures à la contempler. Ses cheveux, ses yeux, sa bouche, la longueur de ses cils. Je peux deviner le rythme de sa respiration et je me surprends même à caler la mienne sur la sienne quand je vois sa poitrine descendre et remonter, doucement. Elle me rend complétement dingue, soumis.
Et ce jour-là, tout a basculé. Je n’ai pas très bien compris ce qui s’est passé, pas tout de suite. Des cris. Des coups de feu. Du sang. De la peur. Du silence. Mes mains se posent sur mes oreilles et je me tiens le crâne comme s’il était prêt à exploser. J’ai l’impression que je vais exploser tout entier tellement je sens mon corps trembler. J’ouvre les yeux, sonné. Et je la vois. A mes côtés. Allongée. La bouche en sang. Les yeux ouverts. Mon regard se pose sur sa poitrine qui ne bouge plus, elle est inerte, livide et sur son visage je peux lire de la surprise. Et je pense qu’à cet instant précis, j’ai pu entendre mon cœur se briser.
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Brax&Co. Ou bien la grande multinationale de Miami. Plusieurs milliers d’employés, de sous-traitances, de bureau, de bénéfice. À la tête de cet empire ? Ce n’est personne d’autre que le grand Richard Brixon. Il est connu pour son grand professionnalisme, celui qui passe plus de 20 heures à son bureau et qui gère à la perfection ce petit monde dont il est le Dieu. En apparence, la famille Brixon ressemble àa la famille parfaite. Une grande maison, une propriété avec plusieurs ares, une richesse, du pouvoir, de la notoriété. Une femme de maison sublime qui passe son temps à faire du shopping et à se montrer devant les caméras, un garçon parfait et une fille parfaite. Il ne manque plus que le chien pour compléter le tableau. Ou bien l’amour. Car il n’y en a pas vraiment dans cette famille. Entre le père qui passe toute la journée au boulot et la mère qui passe son temps à se préoccuper de sa garde-robe, le petit Raph ne trouve pas sa place et se sent perdu. Encore plus quand sa sœur débarque, 2 ans après lui. Elle est belle, elle sent bon. Sa mère tombe immédiatement sous le charme et parle déjà des tenues qu’elle va lui acheter, le cours de danse classique où elle va l’inscrire et du temps qu’elle va passer à ses côtés. Et le petit Raphaël, il n’a pas eu le droit à tout ça. Il se sent un peu comme le canard noir de la famille et son comportement va vite en être la preuve. Malgré la tristesse et la colère qu’il ressent envers sa sœur, il ressent tout de même un amour infini, une protection sans limite. Il n’hésite pas à aller casser la figure de quiconque l’approche. Il se fait très vite à sa position dans la famille avec l’espoir de son père de reprendre l’entreprise familiale ce qui est hors de question pour Raphaël, ce n’est pas son monde et d’ailleurs ça ne le sera jamais. Il participe aux galas de charité, il n’en a pas vraiment le choix, juste pour faire bonne figure et jouer à la famille parfaite devant les photographes. Mais plus les années passent et plus le sourire de Raph s’efface. Alors qu’il avait toujours pris cette habitude d’attendre son père sur l’escalier en marbre de la grande demeure ; ce grand sourire affiché sur le visage, celui-ci s’effaçait peu à peu. Car il se rendait compte que rien ne changera, jamais.
Du coup les années passent et le petit devient grand. Des comportements violents à l’école, ses parents sont face à un garçon qu’ils ne connaissent pas. Lui qui paraissait si sage, si obéissant. Un petit agneau. Mais l’agneau devient petit à petit loup et c’est loin de plaire à Richard. Lui qui voyait bien un avenir tracé pour son fils, reprendre les rênes de cette grande entreprise et être le patron à son tour. Il n’arrive pas à se faire à l’idée qu’il peut remettre ce pourquoi il s’est battu et démené toute sa vie à un homme qui fait n’importe quoi et qui ne prends pas aux sérieux les choses de la vie. Il lui fait des discours, la morale. Il croit que peut-être ça peut suffire et prie tous les soirs pour que Raph se rende compte de la chance qu’il a, il est né avec une cuillère en argent dans la bouche, le cul dans le beurre.
Il ne comprend pas pourquoi son fils fait tout pour le mettre à bout, pour le tester, pour le mettre hors de lui. Il devient impoli face à ses investisseurs quand il le prend avec lui pour aller travailler. Il a déjà été convoqué plusieurs fois à l’école pour quelques coups envoyés par ici par là. Il devient vulgaire envers ses professeurs. Il a séché plusieurs fois l’école et on le retrouve devant l’établissement en train de fumer. Il ne suit pas les cours, rend ses interrogations vides et ne fait pas ses devoirs. Richard perd le contrôle, et il n’aime pas ça. Raphaël n’a que 11 ans, et ce n’est que le commencement.
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A l’âge de 16 ans, sa sœur tombe enceinte. La famille est sous le choc et tout le monde cherche une solution pour que la réputation des Brixon ne soit pas mise à mal. C’est la mère qui trouve directement la solution, on va cacher la grossesse au maximum et elle fera croire que c’est elle qui a eu ce bébé. Son neveu devient donc son frère et le fils de sa sœur, son frère également. Je sers les dents et je ne dis rien, je dois juste abdiquer. Je ne comprends pas pourquoi toujours sauver les apparences. Je suis toujours là pour ma sœur, lors de sa grossesse. Elle n’a jamais voulu lui dire qui est le père, même avec des menaces. La famille n’a pas fait acte d’autant de solidarité lorsque Raph a été pris en délit avec possession de stupéfiant. Non. Aucun soutien mise à part un peu d’argent pour que l’affaire ne s’ébruite pas. Mais ça n’a pas ralentit le jeune homme à continuer ses petites affaires illégales, loin de là. Il a quand même passé une année en détention, centre fermé pour jeune délinquant. La famille a dit qu’il faisait un voyage en Australie, un voyage scolaire.
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Depuis la mort de Megan, je ne suis plus le même. J’ai ce trou béant dans ma poitrine et même si ça fait plusieurs années, presque 10 ans, elle me manque toujours autant. Je ressens surtout cette culpabilité de ne pas avoir su la protéger. Et pourtant je lui avais promis d’être toujours là pour elle et que rien, strictement rien, n’allait lui arriver. Mais j’ai échoué à cette tâche et je n’ai pas d’autre choix que de vivre avec, avec de la culpabilité aussi. Celle d’être sorti indemne de cette tragédie. Depuis ce jour, c’est un peu la dégringolade. Entre la vente de drogue, le sexe, l’alcool, c’est la déchéance. Son père lui met un ultimatum, faire des études, haute et au moindre échec, il lui coupe tous les vivres.
Pseudo ➜ Pam
Âge ➜ 22 ans
Pays ➜ Belgique
Fréquence de connexion ➜ 5/7
Découverte du forum ➜ Facebook
Avis ➜
Autres ➜
Shuloh Fernandez - Inventé