Cara DelevingneNée le 21 Décembre 1992 à Jérusalem (Israël), j'ai 22 ans et suis de nationalité franco-israélienne. Si vous voulez en savoir un peu plus sur moi, sachez que je suis plutôt riche et que je le vis bien ! Actuellement célibataire, je tiens à préciser que je suis plutôt du genre bi... Désolée d'avance pour les cœurs brisés. Diplôme préparé : doctoratCycle & année d'étude : 4ème année graduate (elle a sauté deux classes)Cursus majeur : MédecineSpécialisation : pédiatrieCursus mineur : psychologie | |
Personnalité & addictions
Drôle - 80% Réfléchie - 40% Créative - 50% Travailleuse - 30% Fêtarde - 70% Narcissique - 20% | Artiste - 60% Amicale - 80% Jalouse - 50% Méfiante - 30% Sportive - 70% Prude - 10% | Généreuse - 70% Têtue - 100% Hautaine - 20% Séductrice - 90% Honnête - 60% Joueuse - 100% |
Alcool : 90% | Drogues : 0% | Sexe : 90% |
Renseignements multiples
Pourquoi avez-vous choisi d'étudier à l'université de Chicago ? Pourquoi Chicago ? Etant donné ses notes, Yaëlle aurait pu intégrer n’importe quelle université. D’ailleurs c’est à la prestigieuse université de Yale qu’elle avait commencé ses études de médecine. Mais elle a comme qui dirait déclenché un
petit incident en ayant une relation avec le doyen, honorable femme mariée bien sûr. C’est sur la proposition de son meilleur ami Uriah qu’elle a rallié la ville de Chicago en espérant mettre ce petit détail derrière elle. Elle n’a jamais compris pourquoi tout le monde faisait tout un plat de cette histoire d’ailleurs mais elle s’est dit que remettre ça à Chicago serait une très mauvaise idée.
Quelles sont vos sources de financement universitaire ? Elle a la chance d'avoir deux papas gâteaux qui paient pour ses études, bien qu'elle aurait pu obtenir une bourse de mérite. Pas de petit boulot pour elle, elle serait trop tête en l'air de toute manière. Mais elle donne de son temps dans un dispensaire de la vie néanmoins à titre bénévole.
Que pensez-vous du système de confrérie ? Les fraternités lui font penser aux systèmes de castes en Inde et pour y avoir vécu un moment, elle les a en horreur. Elle trouve ça réducteur, réfractaire et injuste. Elle pense que ceux qui appartiennent à ce système archaïque sont de pauvres brebis égarées mais elle n’interfère pas dans leur choix, elle refuse juste d’en faire partie. Elle ne voit pas pourquoi elle devrait se limiter à appartenir à un groupe quand elle a une personnalité tellement complexe qu’elle n’a pas envie ou besoin de se limiter. Elle est dans la démesure quoi, pour changer.
D'ailleurs, faites-vous partie d'une confrérie ? Si oui, depuis combien de temps ? Les fraternités, c'est vraiment pas son truc. Elle n'aime pas rentrer dans des cases, dans ses standards alors forcément elle n'appartient à aucune d'elles et ne le fera jamais.
Biographie
Atypique. Voilà le mot qui collait le plus à l’enfance qui avait été la tienne. Une mère adolescente que sa famille a rejetée, telle était la femme qui t’avait donné le jour. Elle t’avait fait deux cadeaux : te donner le jour malgré ses 15 ans et te confier aux bonnes personnes. Gwendal était son médecin, l’homme qui a tout de suite cerné sa détresse et qui est tombé amoureux de son bébé au moment où il a posé les yeux sur elle. Il a immédiatement accepté de s’occuper du bébé que tu étais alors, à une époque où il était compliqué pour un couple homosexuel d’avoir un enfant. Mais Gwendal et Zachariah, son compagnon, n’avaient pas hésité une seule seconde. Ils t’avaient absolument tout donné.
Vous en aviez parcouru des kilomètres tout au long de ton existence. Vous étiez des nomades, des curieux du monde à la soif d’expériences insatiable. C’était aussi un moyen de vous protéger des curieux mal intentionnés. Plusieurs fois, tu avais fait l’objet de moqueries de la part d’autres enfants ou de mépris de la part d’adultes du fait de la sexualité de tes parents. Grand mal leur en avait pris. Il ne savait pas quelle enfant… sauvage tu pouvais être. Tes crises de colère sont vite devenues légendaires. A la petite fille souriante aux yeux et à la bouche remplis de question, à la tête brûlée tu opposais volontiers un monstre de méchanceté et de sadisme à ces personnes qui voulaient te blesser. Tu n’admettais pas que les gens jugent votre bonheur et tu t’assurais toujours de leur en passer l’envie. Aucun de tes parents n’avait un gramme de méchanceté en eux. Ils n’avaient même jamais été fichus de te mettre une fessée quand tu le méritais alors tu t’étais toujours sentie obligée de les protéger, comme si c’était toi le parent.
En 16 ans, vous aviez éprouvé au moins 8 pays : la France, l’Irlande, la Russie, Hong Kong, le Brésil, l’Argentine, l’Angleterre puis enfin les Etats-Unis. Autant de pays, de cultures, d’expériences, de curiosités assouvies. Tu n’en avais jamais assez, il fallait toujours que tu en fasses plus, que tu en saches plus, que tu essaies plus. Tu ne t’arrêtais jamais. Et si on avait le malheur de te dire que tu ne pouvais pas, tu mettais un malin plaisir à prouver que tu pouvais. Oui, c’était l’enfance que tu avais eu et que tu avais adoré.
Forcément, en changeant autant de pays, tu avais aussi beaucoup changé d’école. Bien que très douée – surdouée même – tu n’avais jamais été à ta place à l’école. Ce cadre ne te convenait pas. Aucun cadre ne te convenait vraiment. Souvent tu avais suivi des cours à domicile mais souvent tes parents avaient insisté pour que tu ailles à l’école, plus pour te socialiser que pour apprendre quoique ce soit. Alors tu t’y pliais de bonne grâce. Tu passais pour la fille sympa mais qu’il ne fallait quand même pas embêter. Pas assez présente et intéressée pour être populaire, juste assez haute en couleur pour que tout le monde sache qui tu étais au bout de quelques semaines seulement. Plus qu’une éducation, tu y avais appris les jeux de pouvoir qu’il pouvait y avoir entre les gens. Oui, les écoles étaient des mini-sociétés et parfois de petites sociétés vraiment très effrayantes.
Vous avez fini par vous sédentarisés enfin, à la retraite de tes parents, à New York. Cette ville était dingue mais tu l’adorais. Elle était dans la démesure, comme toi. C’était le premier endroit que tu n’avais eu aucune envie de quitter, bien qu’il existât encore beaucoup de pays que tu n’avais pas vu dans le monde. Tu avais fait ton trou, tu t’étais trouvée une routine, une stabilité, des amis. Même si des amis, tu en avais semé partout où tu avais été – dont Uriah ton meilleur ami avec qui tu échangeais des lettres, parce que c’était classe. Tu aurais très bien pu passer le reste de ton existence à NYC. Tu avais intégré la prestigieuse université de Yale où tu espérais être diplômée en médecine.
Mais ton naturel avait repris le dessus. Bien qu’à l’aise, tu n’en étais pas devenue docile pour autant. Ta dernière lubie ? Cette jolie doyenne à la tête de la fac. Personne n’avait jamais essayé de te raisonner, tu étais connue pour être tout bonnement déraisonnable. Plus elle résistait, plus tu voulais venir à bout de ce défi, c’était trop tentant. Et elle avait cédé, tu n’en avais jamais douté, mais le bruit s’était propagé, la rumeur avait enflé puis éclaté. Le scandale avait été total. Tu aurais dû t’en douter. Pour la première fois de ta vie, tu avais dû faire profil bas – et pire – tu avais dû fuir. C’est là que ce bon vieux Uriah t’avait offert une porte de sortie : Chicago. Et après tout pourquoi pas ? Tu avais besoin d’une nouvelle scène pour faire parler de toi. Cette fac allait trembler.
| Moi c'est Union Jack !J'ai 23 ans, je suis Dieu et je vis en France. J'ai découvert le forum sur Bazzart et je le trouve canon ! Sinon, je serai connectée 5 jours sur 7 et je devrai pourvoir RP environ 4 fois par semaine. |