Antoine-Olivier PilonNé le 7 mai 1996 à Surrey (Canada), j'ai 19 ans et suis de nationalité Canadienne. Si vous voulez en savoir un peu plus sur moi, sachez que je suis plutôt aisé et que je le vis pas trop mal... je crois ! Actuellement célibataire, je tiens à préciser que je suis plutôt du genre homo... Désolé d'avance pour les cœurs brisés. Diplôme préparé : doctoratCycle & année d'étude : 1ère année, UndergraduateCursus majeur : Sciences socialesSpécialisation : AucuneCursus mineur : Danse | |
Personnalité & addictions
Drôle - 80% Réfléchi - 80% Créatif - 70% Travailleur - 40% Fêtard - 50% Narcissique - 75% | Artiste - 75% Amical(e) - 90% Jaloux - 75% Méfiant - 70% Sportif - 50% Prude - 90% | Généreux(se) - 80% Têtu - 70% Hautain - 20% Séducteur - 50% Honnête - 70% Joueur - 80% |
Alcool : 60% | Drogues : 10% | Sexe : 80% |
Renseignements multiples
Pourquoi avez-vous choisi d'étudier à l'université de Chicago ? Pour voir du nouveaux monde, voir la vie au USA, faire changement de mon ancienne vie qui ne bougeait pas assez à mon gout.
Quelles sont vos sources de financement universitaire ? Mes parents paient une bonne partie de mes études et je paies l'autre avec l'argent que j'ai amassé au fil des années en travaillant à temps partiel pour mon père.
Que pensez-vous du système de confrérie ? Je ne sais pas trop ce que je ressens l'égard de ce système. D'un côté, c'est bien de s'entraider et d'avoir des gens sur qui compter, mais de l'autre, je trouves que ça crée une division au seins des étudiants et je suis totalement contre l'idée qu'on fasse subir des initiations ou qu'on humilie des gens simplement pour qu'ils soient acceptés dans un groupe social, si on veut inclure quelqu'un on devrait se baser sur la personne qu'il est et non sur le nombre de conneries qu'ils sont prêt à endurer.
D'ailleurs, faites-vous partie d'une confrérie ? Si oui, depuis combien de temps ? Je ne crois pas rejoindre de confrérie pour le moment, je préfères rester ouvert d'esprit et me faire des amis un peu partout sans me restreindre à un groupe social prédéfini. Je veux pouvoir côtoyer qui je veux, et je ne veux pas entretenir de relation avec des personnes que je n'aimes pas simplement parce qu'elles font partie de la même confrérie que moi.
Biographie
Comme tous les humains de cette terre, je suis né de l'union entre un homme et une femme. Et bien sûr, on ne choisit pas ses parents. Pour ma part, j'aurais pu tomber sur pire, c'est vrai. Je n'ai jamais manqué de rien et je n'ai jamais été mal traité. Par contre, côté émotionnel, je n'ai pas été le plus choyé. Pour commencer, laissez moi vous parler de ma mère. Ma mère est professeure de littérature, une femme brillante, ouverte d'esprit, douce et dévouée. Mon père quant à lui, un homme d'affaire aisé, qui à une idée concrète de comment les gens devraient agir, un peu conservateur sur les bords, et qui à toujours raison. S'il dit que la lune est carrée, pas la peine de s'obstiner, il à raison. Depuis que je ne suis qu'un bambin, mon père savait précisément ce qu'il voulait pour son fils. Son fils allait reprendre l'entreprise familiale. Son fils allait être fort, sportif, il se tiendra droit, il sera un homme, un vrai! Il se mariera et il aura des enfants qui porteront fièrement le nom des Williams!
Mais ce qu'il ne savait pas avant ma naissance, c'est que moi, je ne suis pas ce fils... Je n'ai pas eu une enfance des plus magnifique, pas beaucoup d'amis, un père qui ne cesse de me critiquer et une mère qui ne dit rien par peur de se faire rabaisser elle aussi. Je n'étais jamais assez fort, assez bon, assez sportif, j'étais trop émotionnel, trop renfermé, trop si, trop ça... Quand il trouvait que je ne correspondait pas assez à l'idée de ce qu'il voulait pour moi, il n'hésitait pas à me le faire remarquer et les mots qu'il employaient étaient plus où moins réfléchis... Toute cette pression psychologique à fait en sorte que j'ai fini par devenir quelqu'un qui vit ses émotions à l'intérieur, qui n'en parle pas de peur qu'on me trouve faible ou ridicule. J'ai été élevé en petit garçon parfait, poli, qui dit toujours merci et s'il vous plaît, qui se tient droit et qui sourit même s'il n'en a pas envie.
Arrivé au Lycée, j'ai du choisir entre les 4 cours optionnels qui s'offraient à moi: Danse, sport, art ou musique. Pour ma part, il était clair que je voulais aller en danse, apprendre des mouvements, en mettre plein la vue, bouger sur le rythme. Pour mon paternel, il était hors de question que je ne choisissent pas les sports, et même si j'ai essayer de le raisonné, il était hors de question que son fils fasse de la danse "comme les gonzesses". Je me suis alors retourné vers ma mère, qui comme à son habitude n'as pas essayer de m'aider. Ce soir là, elle m'a retrouver pleurant dans ma chambre, déçu encore une fois de ne pas pouvoir être qui je suis. Elle s'assit sur le coin de mon lit et me dit tout bas qu'elle s'arrangerait pour que je suives les cours que je veux en autant que je n'en parle pas à mon père.¸
Et c'est ainsi que j'ai commencé la danse, j'ai exploré tout les styles possibles, je me suis faits des amis, j'ai enfin réussi à avoir un semblant d'épanouissement dans quelque chose. Les gens me faisaient confiance, j'étais souvent considéré comme un bon confident, on disait que j'avais une bonne écoute et il me faisait plaisir d'aider les gens à s'épanouir eux aussi. Mais plus le temps passait et plus je me rendais compte de quelque chose... Alors que tout les jeunes hommes de mon âge courtisaient les demoiselles, moi je n'avais aucun intérêt pour ce genre de choses... Au fond de moi je savais que j'aimais les garçon, mais hors de question de révéler cela à qui que ce soit! Je n'en ai parlé à personne, j'ai fait des recherches sur le net pour m'informer sur le sujet, j'ai découvert toute sortes d'informations sur la psychologie et l'homosexualité, j'ai toujours aimé en apprendre sur l'humain. Mais comme rien ne reste secret indéfiniment, j'ai un jour ressenti le besoin de sortir du placard, d'arrêter de faire semblant, de pouvoir être qui je suis vraiment. Je n'avais aucune crainte envers la réaction de mes amis, j'aimais me tenir avec des gens aussi ouvert d'esprit que moi et j'étais certain qu'ils seraient bien heureux que je leurs annoncent. Pour ce qui est de ma mère, ça devrait aller. Mais mon père par contre... Je n'avais aucune idée de ce qu'il pourrait en penser... Je pris de longs jours avant de me décider, puis un soir, j'ai convié mes parents dans le salon et je leurs ai laisser tomber la nouvelle comme une bombe. Pouf. C'est dit. D'un coup. Aussitôt que mon père ouvrit la bouche pour dire quelque chose, ma mère l'interrompu et dit qu'il n'y avait aucun problème et que elle est papa m'aimaient inconditionnellement. J'étais surpris qu'elle lui tienne tête, c'étais la première fois que je la voyais prendre les devant et je ne m'en suis pas plaint. Et mon père lui, semblait contrarié et il ne dit pas un mot. Je ne l'ai d'ailleurs jamais entendu parler du sujet depuis, il essaie d'éviter à tout prix de parler de mes amours, et ce n'est pas plus grave que ça parce que de toute façon ça ne le concerne pas...
Mes dernières années de lycée furent relativement calmes, je sortais souvent avec des amis, avec eux je pouvais me permettre de ne pas me prendre au sérieux, de déconner, de rire. Quelques soirées un peu plus arrosées ou je finissais parfois la nuit avec des jeunes hommes... Par contre, je n'ai jamais eu de petit-ami à proprement parler, j'ai toujours eu peur de m'ouvrir à quelqu'un... Être amoureux, c'est exposer toute ses faiblesses à quelqu'un et lui faire entièrement confiance. Ça fait beaucoup trop peur. À la maison, je tentais de rester dans mon rôle du petit garçons parfait-poli-gentil, toujours sous l'oeil attentif d'un père qui était prêt à me rabaisser au moindre faux mouvement, à chaque fois que je n'agissais pas comme il le souhaitais... J'ai finis le lycée avec des notes assez bonnes, je n'ai jamais été du genre à mettre beaucoup d'effort dans mes études mais je suis quand même quelqu'un de brillant naturellement, donc je m'en suis sortis pas trop mal. Puis vint le moment de choisir ce que j'allais faire pour l'université... Mon père croyait que j'allais étudier en affaires pour reprendre l'entreprise familiale, mais ce n'était pas mon intention. Pour moi il était clair que j'allais me diriger vers la psychologie, aider les gens, comprendre ce qui les pousses à penser de telle ou telle façon, être en mesure de leur donner les outils dont-ils ont besoin pour continuer d'avancer, c'est ce que je voulais faire. J'ai fait mon inscription en cachette, à l'université de Chicago, histoire de mettre un peu de distance entre la fureur de mon père quand il apprendra la nouvelle et moi. Je lui ai annoncé la nouvelle une semaine avant de partir, ma mère était déjà au courant depuis un bon moment. Il était fou de rage, il à commencé à me crier dessus et toute la rage que j'ai accumulée depuis ma plus tendre enfance à exploser d'un coup. Je lui ai dit que j'en avais assez de me plier à ses exigences, que pour une fois c'est moi qui allait décidé, et que plus jamais il n'allait me dire comment je devais agir parce que maintenant c'est moi qui prendrai les décisions importante dans ma vie. Je n'ai jamais fait quelque chose d'aussi libérateur, comme si tout le poids qui pesait sur moi depuis tellement longtemps s'était envolé d'un coup. Les jours qui suivirent mon annonce étaient occupés par une tension palpable entre moi et mon paternel, ma mère tentait tant bien que mal de détendre l'atmosphère, sans résultat. Je suis partis après des adieux touchant avec ma mère, et un simple au revoir à mon père qui resta sans réponse. J'avais quitté la maison, maintenant chaque seconde me rapprochait de mon nouvel avenir, une nouvelle vie, des nouvelles rencontres et surtout, j'allais pouvoir vivre comme je l'entends. Pour moi, mon entrée à l'université sera une renaissance après un combat au cours duquel j'ai perdu des plumes...
| Moi c'est Graborium !J'ai 17 ans, je suis un garçon ET une licorne et je vis au Canada. J'ai découvert le forum grâce à une amie et je le trouve TROOOOP choupi ! Sinon, je serai connecté(e) trop souvent et je devrai pourvoir RP environ 218939127389719283791837921 fois par semaine. |