Le sport ne forge pas le caractère. Il le révèle.
➜ Allen Woods.
➜ 21 ans.
➜ 11 juin 1994 à Davenport.
➜ Américaine.
➜ Américaine.
➜ Modeste.
➜ Célibataire.
➜ Hétéro.
➜ Undergraduate, 1ère année.
➜ Bachelor.
➜ Economie néoclassique.
➜ Sociologie.
Timide – Peu pudique - Fêtard - Arrangeant - Sociable - Courtois - Pacifique - Ambitieux - Maladroit - Taquin -
Confrérie ➜
DELTA UPSILON.
Années d'ancienneté ➜ Pas encore une.
Si j’ai choisi cette confrérie là, ce n’est clairement pas par défaut. Ils m’ont semblé associer les qualités d’une confrérie, à savoir la cohésion, l’entraide et l’amusement, sans en avoir les défauts comme l’exclusion des autres membres de confréries. Et puis les soirées des Delta Upsilon sont très… sympas. Je pense correspondre à cette confrérie là, je n’aime pas la monotonie et vous n’entendrez jamais quelqu’un dire de moi que je suis casanier et encore moins détestable. Je suis plutôt l’inverse : touche-à-tout, peut-être un peu hyper actif et très chaleureux. Ca fait très prétentieux dit comme ça, mais mes proches pourront vous confirmer que cette description est très réaliste. Enfin, j’ai vraiment envie de profiter de tout ce que cette université peut m’offrir, notamment en sport et en associations étudiantes. Je suis un bizut dans cette confrérie là et on m’a obligé à porté un costume vert accompagné de son fond de même couleur pour jouer Monsieur Météo sur le campus. Je n’ai pas encore trouvé cette tenue mais j’ai déjà la pression de mes ainés pour passer la seconde et réaliser ce bizutage au plus vite. Bon, ce n’est pas effrayant comme étape à passer, je m’attendais à pire, mais je pense que ce bizutage n’est que la face émergée de l’iceberg et que les autres me réservent des surprises moins agréables, je verrai bien le jour J.
01. Il est de notoriété publique, à cause de Playboy, que j’ai causé un accident en conduisant ivre.
02. Je déteste l’ambiance « cocon protecteur » qui règne chez mes parents.
03. Je n’ai jamais eu de « véritable » petite amie.
04. Mon père était une « star » du baseball en son temps.
05. J’ai une petite, très légère, tendance à l’exhibition quand j’ai un peu bu.
06. Je préfère le soccer à mes études, mais bon, pas le choix.
07. Je m’entends plus avec ma petite sœur qu’avec mon grand frère.
08. Je me faisait appeler Alien par mes camarades à l'école parce que mon prénom était bizarre et que personne ne me voyait jamais aller faire pipi, c’est une chose discrète en même temps… Les tocards !
Allen. Voilà le prénom que mes parents m’ont donné d’un commun accord, en référence à la lubie de ma mère pour le réalisateur du même nom : Woody Allen. Woody Allen, Allen Woods, vous voyez l’idée ? Je suis né au début de l’été 1996, à Davenport, ville de l’Iowa mais frontalière avec l’Illinois, état où se trouve Chicago, mais ça, j’y reviendrai plus tard. Davenport donc ! Il n’y a pas grand-chose à dire sur cette ville là, en dehors du fait qu’elle m’a vu grandir pendant 20 ans tout comme elle a vu grandir mes parents qui sont restés accrochés à leur rocher toute leur vie. Eux aussi y sont nés, y ont étudiés, s’y sont rencontrés, bref vous voyez le genre. Enfin je dis qu’ils sont toujours restés à Davenport, je mens un peu. Mon père a en effet, fait son petit trou à Chicago, en baseball, pas chez les Sox, non mais dans l’autre franchise de la ville : les Cubs, club « secondaire » mais qui a tout de même gagné deux titres, attention ! Pas quand mon père y était par contre. Ma mère quant à elle était prof à l’université de Davenport, dans une filière technologique avant de prendre sa retraite à la naissance de ma sœur, la dernière d’un trio d’enfants. Entre les revenus de mon père et ceux de ma mère, nous avons vécu très correctement tous les cinq, sans pour autant être riches : une seule maison, sans piscine olympique ou héliport, une seule voiture, une familiale, tout en modestie.
La modestie justement, a été l’une des valeurs phares de l’éducation que j’ai reçue. L’idée chez les Woods est de ne jamais faire de vague, nous ne sommes pas surfeurs… Hmm… Passons cette blague, vous voulez bien? J’ai donc toujours été discret et humble, au sport, dans mon club de soccer, comme à l’école, sauf qu’à l’école, il ne fallait pas être discret, il fallait se montrer, montrer ce dont on est capable et ça, justement, j’en étais incapable. Aucun prof n’a jamais su comment s’y prendre avec moi, j’étais effacé, mais bosseur, même moi je ne savais pas où j’allais, je me cherchais, je ne savais pas ce que j’allais faire. A force d’errer comme ça, mais en ayant de bons résultats un peu partout, je me suis retrouvé à l’université de la ville, en management du sport. Je m’étais dis, vers la fin du lycée, qu’en ayant fait du sport pendant plus de dix ans, ça devait être ma filière de prédilection et je n’avais pas envisagé de quitter Davenport. Cette première année fut un échec et j’arrêtai au milieu, perdu.
La deuxième moitié de l’année ainsi que les deux années d’après, j’ai travaillé avec un menuisier. Le rythme était tellement soutenu que je ne voyais plus beaucoup mes parents, je rentrais tard et repartais tôt, mais au moins j’étais très bien payé. Ce travail est sûrement le tournant de ma vie. J’habitais toujours chez mes parents mais ne les voyant plus beaucoup, je n’étais plus autant choyé et dorloté qu’avant. J’avais quitté le cocon familial tout en y étant toujours, paradoxal, oui, mais formateur. C’est à se moment là que j’ai réalisé que je commençais tout juste à me construire en tant qu’individu. Sur mes jours de congé et les quelques week end que je pouvais avoir, j’en profitai pour sortir tout aussi tôt et rentrer tout aussi tard. Dans ces instants de loisirs, je me suis fait des tas d’amis en sortant de ma discrétion légendaire, j’ai également eu ma première petite amie, puis la seconde et enfin la troisième avec qui j’ai eu ma première fois. Aucune de ces trois histoires n’a été très « intéressante », c’était assez superficiel au final mais pas totalement inutile.
Dans l’année, mon patron mit la clé sous la porte et se fut alors le retour à la case départ. Impensable de reprendre une vie d’enfant surprotégé, surtout à mon âge, j’envisageai donc de reprendre les études. L’année universitaire à Davenport n’avait pas été complètement inutile, j’avais retenu que l’économie m’intéressait beaucoup et j’entrepris alors de candidater à Chicago, dans leur département d’économie donc, tout en demandant une bourse qui pouvait m’être accordée pour ma reprise d’études. Entre mes économies, cette bourse finalement obtenue et une aide de mes surprotecteurs de parents, mon projet à Chicago était viable : j’attends aujourd’hui la réponse de l’université.div>
Pseudo ➜ Yann.
Âge ➜ 25 ans.
Pays ➜ France.
Fréquence de connexion ➜ Trop souvent.
Découverte du forum ➜ Via l’annuaire forumactif.
Avis ➜ Toujours au top ce forum.
Autres ➜ Les Autres c’est le mal.
Dylan Sprayberry - type de personnage Inventé